1954.1955, classe de 6ème A1


En partant du haut, et de Gauche ç droite:
Hervé Joubert, André Manardo, Yves Gauvin, Bernard Saal, Joseph Scruoffeneger, « Jean-Michel Corre », J-Pierre Constantini, Daniel Msika, J-Louis Orlando.
André Kovalitchko (père réalisateur à Radio Tunis, Polonais rescapé des camps nazis), .. Nataf, J-Jacques Castellani, .. Février, .. Haddad, J-Pierre Favéla, J-Luc de la Morinière, Georges Sberro, Alain Monier (fils du prof d’anglais).
Chester (et oui!) Zarka, Jean Slama (attention, ce n’est pas le futur normalien), .. Sorba,.. Lami, Hajjaje, Claude Taïeb, Michel Bonan, Alain Robert, .. Raffali, Pierre-Paul Corsetti.
Pierre Bismuth, .. Haïk, .. Garcia, .. Bélichat, Yves Le Romancer, Guy Ritch, Jean Vecchierini, Alexandre Rodjétswensky (dit Roger), Jacques Simonpoli
Je terminai cette classe avec le prix du Tablau d’honneur et des Félicitations, que je partageai avec mon camarade et toujours ami Jean Vecchierini !! Pourtant la concurrence était rude, le paquet des premiers à l’examen national d’entrée en 6° se retrouvait dans cette classe!

Photo et liste de Jean-Michel Corre
Pour la 6° A1 de 1954-55, le Prof principal était M. Beuchet

1975-1976, classe de 6ème 5


Au premier rang de gauche à droite: Sylvio Cascio, Fayçal Bekri, Hedi Fakhouri, Jacob Sayada, Ilya ?, Imad Barhoumi, Jean-Jacques Ramisse, Etienne Fournet, Valérie Hacide, Emma Ben Youssef.
Au deuxième rang: Nabil Chaherli, Jean-François Dimanche, Adel Zmerli, ? Hélioui, René Rallo, Myriam Chamli, Fatma Belkadi, Leïla Chebil.
Debout: Mireille Pandolfo, Brahim Ouardani, ? Mzali, Karim Habib, Tarak Zanouni, Françoise,Maudoux, Karine Bardavid et Mme Nicolette TillardPhoto et liste envoyées par Etienne Fournet.
Mme Nicolette Tillard, professeur d’histoire-géo.

Mausolée de Brigitte SMADJA

Sylvain et sa sœur cadette Magda sont nés en Tunisie avant de suivre leurs parents venus s’installer en France.
Aujourd’hui, Magda, dont les seuls souvenirs d’enfance sont les récits passionnés de son frère, est journaliste à Paris. Sylvain, nostalgique et désabusé, successivement “ peintre, receleur de visions, administrateur de biens et trompettiste ”, vit de transactions douteuses. À la suite d’une curieuse rencontre avec un certain Mabrouk, tunisien bon vivant, il entreprend de racheter le Casino de la Goulette, l’hôtel de son enfance, à Tunis. Mais, parti le cœur plein d’espoirs et de doux rêves mêlés de souvenirs fragmentés, Sylvain va vivre un véritable cauchemar. Magda, alertée de la détresse de son frère, tente de lui venir en aide. Commence alors une aventure étrange entre traques pittoresques à travers la ville, manipulations mafieuses et quête des origines. Dans ce troisième roman, Brigitte Smadja poursuit son étude du danger du retour au passé et de l’infidélité de la mémoire chez deux êtres déracinés dont le seul repère reste leur amour, cette fraternité à toute épreuve qui fait que les êtres se sentent et se savent, loin de parents incapables et traîtres. Ce roman est une sublime fresque, assurée par un narrateur masculin, qui traverse avec émotion des odeurs et des décors pénétrants et croise des personnages touchants d’humanité comme Hfayet, le gardien fou du casino.

Editions Actes Sud (2003)

Le Destin tragique du Juif Baittou de Hatem KAROUI

Le destin tragique du Juif Baittou, roman de Hatem Karoui, raconte l’histoire d’un Tunisien, appartenant à la communauté juive, condamné à mort pour avoir insulté la religion musulmane. Avec Baittou, l’auteur, délicieusement, nous plonge dans la Tunisie des années 1850 où différentes communautés maltaises, siciliennes, juives et musulmanes vivaient en toute quiétude, mais où aussi on réglait certains comptes politiques en utilisant la justice et le glaive.
En attendant sa condamnation puis son exécution, Baittou revient sur son passé, et c’est ce passé qui nous est servi sur près de 200 pages. Non pas uniquement celui de Baittou , mais aussi celui de son entourage, composé de différentes communautés et d’une kyrielle de cultures.
Ce que nous découvrons (ou redécouvrons) dans cette lecture est une vie des plus ordinaires entre des personnes ordinaires que la religion n’est pas arrivée à séparer. Quoi de plus normal, en effet, qu’un Musulman collabore et coopère avec un juif, tous deux sujets du Bey ?
Hatem Karoui relate le quotidien de ces gens avec toutes les odeurs et les parfums de l’époque.
Editions Simpact (Tunisie 2004)

1956.1957 -classe de math.élem.


liste et témoignage d’Hector CHEMLA De bas en haut et de gauche à droite :
1er rang : X,X.X,Mr Sauvan prof.de maths, Mr Grenier prof. de philosophie,X,X,Naccache

2eme rang : X,X, Rigopoulo, X, Scemla,Roger Suid, X, X, X

3eme rang : Andre Toubiana, Sebag, X, Granger, Jean-Paul Taillefer, X, X, X, X, X

4eme rang : X, Hector Chemla, X, X, X, Jean-Louis Amiel, Meslier de Roccan, Jonas Brami, Cohen
Ne figure pas sur cette cette photo : Philippe Hayat qui etait un bon Tennisman et qui habite aujourd’hui Jerusalem.

J’espere qu’on finira par reconstituer le puzzle des noms de cette classe dont j’ai garde un excellent souvenir.
J’ai garde un bon souvenir de Jean-Louis Amiel qui etait ( avec son voisin de gauche dont je ne me souviens pas le nom) un bon ami et aussi d’Andre Toubiana (a la belle voix de Tenor) avec qui, je me souviens, j’ai prepare intensivement les epreuves du Bac, chez lui, autour d’un tableau noir qu’il avait installe dans sa chambre.

Derniere anecddote concernant l’élève (avec des moustaches) qui se trouve au 3eme rang, 2eme à partir de la droite : Je me souviens que vers le milieu de l’année scolaire , lors d’un cours de physique de Mr Schweitzer ( dit Tonton!), on lui avait annoncé qu’il avait été choisi avec d’autres camarades tunisiens pour former les prochains cadres de la future armée tunisienne et qu’il devait partir au plus vite a Paris suivre une formation militaire a l’Ecole de Saint-Cyr. Je suppose qu’aujourd’hui, il a un haut rang dans cette armée tunisienne mais probablement il est a la retraite.

Quant a Mr Sauvan, malgre sa rigueur et sa sévérité relative, j’ai garde un excellent souvenir de son enseignement clair et magistral. Je me souviens de ses démonstrations écrites impeccablement au tableau (avec craie en couleur s’il vous plait !) accompagnées toujours de figures géométriques qu’il tracait en utilisant toujours son materiel special pour tableau : compas, règle, équerre, rapporteur, ficelle pour tracer les cercles …….

Grace aux deux années ou j’ai bénéficié de son enseignement (en seconde et Math.elem.), j’ai aimé les mathematiques et j’ai fait par la suite des études superieures où les mathématiques avaient une part importante. J’ai meme enseigne les mathématiques durant quelques années (meme en Math.elem) avant de me specialiser dans l’Informatique où j’ai fait carrière.

Autres anecdotes sur Mr Sauvan :

Malgre sa sévérite, il aimait beaucoup plaisanter. Je me souviens des histoires droles qu’il nous racontait pour detendre l’atmosphere, lorsque quelques semaines avant le Bac, nous etions, en classe, en pleine revision intensive qui etait toujours accompagnee par la resolution de nombreux exercices et problemes. A ces derniers, il aimait ajouter de temps en temps des rebus et des problemes de mathematique amusante qu’il tirait d’un livre qu’il avait toujours sur son bureau. Il ne supportait pas que l’on fasse des fautes d’orthographe et quand il nous rendait les copies, non seulement il nous enlevait des points pour nos fautes d’orthographe, mais aussi il exigeait qu’on recopie jusqu’a 100 fois des fautes que l’on faisait en ecorchant les noms du genre Pythagore, Thales etc… Croyez moi, cela a porte ses fruits puisque de telles erreurs ne se renouvelaient plus.

Autre souvenir personnel : Il aimait bien me faire passer au tableau et il s’arrangeait toujours pour me faire ecrire le chiffre 8. En effet il avait constate que je tracais mon 8 en ecrivant deux zeros l’un sur l’autre sur lesquels je repassais pour bien mettre en valeur le 8. Cela le faisait toujours sourire sinon rire. Une fois, devant tous les éléves il s’est exclamé : Ah ! si j’ai un autre garcon, je l’appelerais Hector ! Touchant, n’est-ce pas ! Une autre habitude de Mr Sauvan : A la recreation de 10 heures, avec son collegue Mr Reboul, il aimait boire son verre de vin rouge. La bouteille se trouvait géneralement dans l’armoire de Mr Reboul !
M. Sauvan, prof. de maths, photo d’André TOUBIANA
commentaires et témoignages suivants trouvés sur harissa.com
Je suis sur cette photo : je suis le deuxième, en partant de la droite, au deuxième rang. Mon nom est Jean-Guillaume GAILLARD. Je reconnais aussi sur cette photo Michel DIDIER deuxième au premier rang en partant de la droite. Il me semble que le premier, en partant de la droite au deuxième rang, avait pour nom de famille ALEXANDRE.

1955-1956 – classe de 6ème M6



Elèves :
Protchoukanof, Brami, Jaoui, Stora, Romeo, Poli, Guita
Neri, Minaudo, Joseph Mezzafonte (moi), Lumbroso, Ponzio, Saada, Lamy, Djeribi, Bijaoui, Seraoui, Msika, Scarpaci
Rizzo, Debono, Gargoila, Gauthier, Mr. Savaux (Prof D’Anglais), Seyman, Carniero, Napolitano
Professeur d’Anglais : M. Savaux
Photo envoyée par Joseph Mezzafonte