VERNISSAGE DE L’EXPO DE MARCEL BRUN


79, rue Quincampoix Paris 3°Marcel BRUN a été de longues années prof de philo à Carnot et à la Marsa, il expose du 24 mai au 6 juin à la Galerie ART PRESENT.
Le vernissage à lieu le mercredi 28 mai de 18 h à 21 h.Il nous a envoyé,de NIMES, ce message : Comme les autres années j’expose à la galerie ART PRESENT. C’est pour moi l’occasion de revoir les anciens de Tunisie. A mon âge, ces retrouvailles sont précieuses. Elles font surgir des temps heureux

CARTHAGE de DANIEL RONDEAU

Aujourd hui, quartier excentré de Tunis, Carthage fut une ville africaine où vécut longtemps le vieil Orient avant de devenir l une des capitales du christianisme (au IIIe et IVe siècles). Ici l’Orient et l’Occident n ont cessé de se parler, de se combattre, de se rencontrer, de s aimer.
Le récit de Daniel Rondeau rend hommage aux femmes qui ont porté le drapeau de la ville, notamment à Elyssa, la fondatrice, venue de Phénicie au VIIe siècle avant Jésus-Christ, et aux hommes comme Hannibal qui la firent connaître dans le monde entier. Carthage est une méditation sur l histoire, sur le temps qui passe, sur la guerre, sur le grand incendie du monde qui ne s éteint jamais, mais aussi sur les historiens (Hérodote, Thucydide, Polybe) et sur la littérature. L auteur fait la part belle à Virgile, à saint Augustin, qui vécut longtemps à Carthage où il eut ses premières expériences amoureuses, et à Flaubert qui ressuscita la ville disparue dans Salammbô. Carthage est aussi un livre d actualité sur les rapports entre l’Orient et l’Occident, qui sera publié au moment du grand débat sur la création d une éventuelle association Euro-Méditerranée.
Editions NIl (2008)
Biographie de l’auteur
Daniel RONDEAU est écrivain, éditeur et journaliste. Il a publié une vingtaine de livres dont un très beau roman en 2004 : Dans la marche du temps (Grasset).Après ses livres sur Tanger, Alexandrie et Istanbul, Daniel RONDEAU emmène ses lecteurs au cœur de l’histoire et de la mythologie. Nous voici dans le silence de Carthage, la ville des sacrifices humains, la rivale de Rome, rayée de la carte du monde par la volonté du romain Scipion Émilien au IIe siècle avant Jésus-Christ.

RENDEZ-VOUS A L’HOTEL DE VILLE DE PARIS


(de G à D : Michel HAYOUN président de l’ALCT, M. GUICHANE, prof physique-chimie, Marie-Germaine fille de M. COLAS prof de maths, M. SFEZ, prof de physique-chimie).

En effet, l’Association des Anciens du Lycée Carnot de Tunis a fêté ses 15 ans dans les prestigieux salons « Les Caryatides » à l’Hôtel de Ville de Paris, somptueusement ornés de fresques et toiles de maîtres, riches en sculptures féminines dorées à l’or florentin….
(Virginie et Philippe TAPIA ont présenté la soirée)
Pour cet anniversaire, les anciens de Carnot ont signé, une fois de plus, un pacte d’amitié entre les 3 communautés juive, musulmane et chrétienne, réunies en ce lieu chargé d’histoire ; histoire de la France qui nous a offert courtoisement et généreusement son bras pour ne pas chuter….
Sacrée Paris ! vous avez eu beau nous faire grandir durant ces années, nous sommes restés inlassablement des enfants de Tunis : Tunis khadra, Tunis Jasmin, Tunis T.G.M., Tunis chère à notre cœur, comme l’a chanté avec poésie, la noble dame de la chanson orientale, Esther Dalal, à l’image des lieux
somptueuse dans sa robe de taffetas rouge orangée , brillant de mille feux, digne des plus grands concerts du monde arabe.
Mais le spectacle n’était pas que sur la scène gigantesque où quelques personnalités ont fait de petits discours, dont le représentant de Monsieur le Maire de Paris et Baraoui Marzouk (ci-dessous) comédienne dans le film « La Graine et le Mulet »,film récompensé aux Césars 2008.
Monsieur Albert Memmi, grand écrivain et son Altesse, le Prince Fayçal Bey, petit fils du Bey de Tunis, nous ont honoré de leur présence…
(de gauche à droite Mona Ben Ghars, Albert Memmi, Effy Tselikas, Fayçal Bey, Virginie Tapia) sans oublier les fidèles qui ont fait le voyage de la Martinique, de Tunis, de Francfort, les anciens de Mutu pour nous rendre visite ….
Silence, on tourne ! quelques 300 figurants autour des protagonistes de la soirée, Lina Hayoun et Philippe Tapia, sont attablés autour d’une table ronde, richement dressée aux couleurs et saveurs de Tunis ; tous animés du même espoir, même fébrilité de retrouver un peu de leur jeunesse entre l’histoire d’une vie, le présent, le passé recomposé et le futur ; les dames rivalisent d’élégance et demeurent, pour la plupart d’entre elles, des créatures divines malgré le temps qui passe, les hommes, plus que jamais séduisants avec leurs tempes poivre et sel…..
Un chuchotement va crescendo de table en table : on ne voit plus rien de la scène au « désespoir » de ceux qui s’y tiennent … On rit bruyamment, on fait sonner le cristal où se balance l’élixir d’eau de vie, la boukha, tel un bateau ivre ; on échange de bons mots, des espoirs d’un avenir meilleur…. Je trace furtivement un cercle de mes yeux myopes pour essayer de revoir les miens : il me semble reconnaître quelques parents d’amis d’enfance ! Suis-je en plein délire ou sont-ce les misérables gouttes d’alcool offertes par mes chers Bernard et Michel, qui me montent à la tête ? Je suis décalée dans le temps… ce sont bien mes copains qui sont devenus les clones de leurs parents, comme moi, probablement ! Je suis un peu troublée mais heureuse de retrouver le passé après cette recherche du temps perdu.
On échange des souvenirs et des impressions sur le raout du jour, entre les timides qui resteront sur leur faim, perdus dans ce maelström d’acteurs, les intrépides, les extravertis et les plus sages…..
Malgré les apparences, ce n’est pas une soirée mondaine superficielle : c’est un rassemblement de nostalgiques qui affichent une délectation évidente à retrouver leur bande après tant d’années de sevrage et de privation ; des nostalgiques à un des moments-clés de la vie : l’intronisation à la Race des Seignors ».
Le décor change brutalement : nous ne sommes plus ces adultes « révérencieux » dans une effervescence culturelle conviviale ; sacro-sainte bonne éducation! nous ne pouvons plus tenir sur nos chaises ….
La caméra ne sait plus où donner de l’objectif et virevolte, ivre et indécise entre les « tourneurs de table » et le crépitement des flashs . les retrouvailles se font enfin émouvantes ou joyeuses sous le regard indifférent d’un couple de danseurs, évoluant sur la scène, inlassablement, avec en fond sonore, un tango argentin ; sommes-nous devenus nos parents, nous les twisteurs, les jerkeurs de l’époque des Yéyés ? c’est un anachronisme !
Gros plans sur les embrassades et les accolades tandis que le mérou continue de refroidir dans l’assiette….
Le décor est définitivement reconstitué : nous sommes à Kherreidine, sur l’avenue de Paris , sur les bancs des Lycées de Tunis , dans la cour des « grands », entre clichés affects et « mièvrerie » sentimentale…. Ce melting-pot n’a plus rien à voir avec les tenues étriquées des figurants, encore étrangers, lors de la première partie du film… Chacun « surjoue » et accompagne ses répliques de mimiques bien de chez nous… on danse, on chante, on sourit et on flotte : on est dans un bain de jouvence ….

L’heure tardive nous rattrape trop vite et c’est le grand moment des solennités.
Face à l’écran géant de notre nuit presque blanche, on se fait une toile : les souvenirs défilent sous nos yeux, mouillés par l’émotion ; un parterre d’inconditionnels de Carnot entourent les professeurs d’antan qui ont eu la gentillesse de se déplacer, Monsieur Guichané, Monsieur Sfez, Monsieur Attal, Monsieur Neveu ainsi que Marie- Germaine, fille de Monsieur Colas et Frédéric, fils des Castel.
Un énorme gâteau d’anniversaire pour les 15 ans d’existence de l’Association, soucieuse de la pérennité de leur « affectio societatis », fidèle à la mémoire d’une enfance heureuse en Tunisie, vient accompagner le générique de fin avec regret ; il est minuit et les au revoir s’éternisent …..
Et si on se donnait rendez-vous dans 5 ans !

NADINE TIBI

A mon amie d’enfance, Annie et son mari, ancien de Carnot, qui attendent avec impatience que leur « printemps » renaisse à la vie…..
Bonsoir Paris, lumineuse malgré ses pavés mouillés et ses embouteillages ! Mille mercis à Monsieur le Maire,Bertrand Delanoë, notre illustre compatriote. En homme généreux qu’il est, il nous a permis de rassembler une partie du Tout-Tunis des années 60 à 80 en une nuit.

VICTOR FAIT SON SHOW


La cave se rebiffe
6 rue DUPUIS 75003 PARIS (métro République)
Moulin à café
9 place de la Garenne 75014 PARIS (métro Pernety)
(possibilité de dîner en venant plus tôt
entrée libre, chapeau en fin de spectacle
mercredi 20 février 2008 à 20h30
Victor ZARCA fait sa Charlotte à la folie

PUBLICATIONS DE LA SHJT

Vous pouvez souscrire en renvoyant le bon de commande ci-dessous :

BON DE COMMANDE à RETOURNER à LA S.H.J.T. 45 rue la Bruyère 75009 PARIS

Monsieur ou Madame ……………………………………………………………………
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Commande les ouvrages suivants :

Juifs et Musulmans en Tunisie : fraternité et déchirements du Moyen Age à nos jours 35€ x …ex. =

Juifs et Musulmans en Tunisie entre Orient et Occident 24€ x…ex. =

Robert Borgel, Etoile jaune et croix gammée, 25€ x…ex. =

Les chroniques d’Eliézer Ashkenazi 10€ x…ex. =

TOTAL ……………
ci-joint par chèque à l’ordre de la SHJT
· Juifs et Musulmans en Tunisie : fraternité et déchirements du Moyen Age à nos jours, actes du colloque de mars 1999, au prix spécial SHJT de 35 €.
· Juifs et Musulmans en Tunisie entre Orient et Occident, actes du colloque d’avril 2003, au prix spécial SHJT de 24 €.
· Robert Borgel, Etoile jaune et croix gammée, les Juifs de Tunisie pendant l’occupation allemande, préfacée et annotée par Claude Nataf, édité par la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, au prix spécial SHJT de 25 €.
· Les chroniques d’Eliézer Ashkenazi, présentée par Robert Attal, au prix spécial SHJT de 10 €.

CONFERENCE SUR LES JUIFS DE TUNISIE

mardi 29 Janvier à 18H30 à l’Alliance Israëlite 45 rue La Bruyère 75009 PARIS

Dans le cadre des activités de la Société d’Histoire des Juifs de Tunisie, Colette ZYTNICKI, Professeur à l’Université de Toulouse le-Mirail, donne une conférence sur: « L’accueil des Juifs de Tunisie à leur arrivée en France après 1956 »
mardi 29 Janvier à 18H30

VISITE DE L’EXPO VLAMINCK AU MUSEE DU LUXEMBOURG


Dans cette période de grandes remises en question et de bouleversements esthétiques, l’œuvre de Vlaminck est à considérer à la fois à travers sa relation à la génération post-impressionniste qui l’a précédé (Van Gogh, Gauguin, les Nabis, Cézanne, Signac)et sa formidable audace qui le conduisit vers une gestualité expressive, une outrance de la couleur et une déformation sélective n’ayant craint aucun débordement : « Je haussais tous les tons, je transposais dans une orchestration de couleurs pures tous les sentiments qui m’étaient perceptibles. J’étais un barbare tendre et plein de violence » (Tournant dangereux, 1929).
Visite guidée par une conférencière diplômée de l’Ecole du Louvre

*rendez-vous,le 9 juin à 17h15 à l’accueil « groupes » du musée du LUXEMBOURG, 19 rue de Vaugirard, 75006 Paris

Visite-conférence : 13 Euros à envoyer à ALCT 18 champs Elysées 75008 Paris , l’entrée est à régler sur place. Réservez au plus vite : par téléphone 06 20 88 40 52/ par mail alct@free.fr / par courrier en joignant votre règlementCette exposition rassemble des œuvres de 1900 à 1915, c’est-à-dire depuis les premières peintures de jeunesse de VLAMINCK (les réalisations antérieures, peintes dès l’âge de 17 ans, ont disparu).Lundi 9 juin à 17h15.

FESTIVAL DES JEUX A CANNES

avec les fédérations françaises de bridge, dames, échecs, scrabble,jeux mathématiques…..qui proposent informations ,initiations et tournois.

Les hôtels partenaires proposent des tarifs spéciaux aux clients participant à ce festival.Pour d’autres informations , consulter le site
www.festivaldesjeux-cannes.com

Jean UZAN, délégué Général de la la Confédération des Loisirs de l’Esprit nous fait part du « Festival des Jeux » qui a lieu à Cannes au Palais des Festivals, du 13 au 17 février
www.festivaldesjeux-cannes.com