Institutrice : Mme Moraud
1973 1974, élèves de première et seconde
Accroupis à G : Serge Cusumano – Adriano Cipolla – Pierre Caetani – ?
au dessus à G : Sonia Russo – Abdul Attalai – Silvia Raffaele – Elisabeth Tabone – Anne-Marie Carraut – Hervé tabone – ? – Patricia Favaloro -Dans la cour du petit lycée.
Photo envoyée par Adriano Cipolla
1965.1966 – classe de 9e
Institutrice au petit lycée : Mme Bourquin
Photo envoyée par Adriano Cipolla
1964 -1965, classe de 10e2
Assis au premier rang : Marc Grech (1er à G) Aline Cilia (3ème à D), Adriano Cipolla (1er à D)
Institutrice Madame Orset
Photo envoyée par Adriano Cipolla
Claude Rizzo, le maltais de Bab-El-Khadra
Lorsque lon évoque ces mots et expressions : Malta srira – Malta hanina – Malta fior del mondo – Ras marbouta – Laham bla melh – Le cocher maltais – Le Huttab maltais – Café Licari – Va faire des cages à
Claude Rizzo dans son roman foisonnant et picaresque le Maltais de Bab-El-Khadra, paru chez Michel Lafon, restitue avec maestria latmosphère de lépoque : les dernières années du protectorat, dans un des quartiers les plus populaires de Tunis, à travers un gamin de huit ans, Gaëtan Vella. Celui-ci se refuse à devenir cocher, comme la plupart de ses copains maltais. Il veut être chef. Il a dailleurs déjà une bande de gosses qui livrent en brouette les personnes âgées du coin. Mais cela ne suffit pas : il faut être instruit, pour réussir. Cest auprès de tante Ménouna, une vieille fille dapparence acariâtre mais qui fond de tendresse pour le gamin ambitieux, que Gaëtan fait ses classes et apprend également lhistoire de ses ancêtres.
Ce dîner-débat a lieu jeudi 17 mars à 20h au restaurant de l’UNESCO, 7 Place de Fontenoy, à Paris 7ème (métro Ségur).
Claude Rizzo est notre invité jeudi 17 mars pour nous parler de son roman « le Maltais de Bab-El-Khadra » (Michel Lafon) et nous dévoiler des aspects peu connus des Maltais de Tunisie : quels quartiers habitaient-ils ? quels métiers exerçaient-ils ? quel rôle jouait léglise catholique ? la langue maltaise est-elle une langue sémite ? quelles relations entretenaient-ils avec les autres communautés ? les maltais de Tunisie, « français » malgré eux ?
Le Maghreb des livres à Paris
La Tunisie se taillera une place de choix notamment autour de tables-rondes et de débats : Saga de femmes de Tunisie à travers l’histoire par l’écrivain Alia Mabrouk, l’état du cinéma en Tunisie par le réalisateur Férid Boughedir, Enfances tunisiennes avec et autour de Colette Fellous, Férid Boughedir, Nicole Jean et Serge Moati; ainsi que dans les projections (films et documentaires), animations et expositions.
Avec quelque deux cents auteurs qui se plieront à la coutume des dédicaces : dont Abdelhaziz Belkhodja, Jean Daniel,Colette Fellous, Gisèle Halimi, Lina Hayoun, Yves Lacoste, Alia Mabrouk, Abdelouahab Meddeb, Albert Memmi, Nine Moati, Serge Moati, Cécile Oumhani, Fayçal Bey, Sapho, Benjamin Stora,Effy Tselikas, Pierre Vermeren, …
Salons de lHôtel de Ville de Paris le samedi 5 (12h à à 21 h) et le dimanche 6 février(de 11h à 20h).
Entrée libre.
C’est la Tunisie qui est à lhonneur au onzième « Maghreb des livres ». Cet évènement se déroule dans les grands salons de lHôtel de Ville de Paris le samedi 5 (12h à à 21 h) et le dimanche 6 février(de 11h à 20h).
Entrée libre.
LAFFONT
Prof de philo (début des années 60)
1973 – classe de 1ère
en bas de G à D : Pierre Gaëtani, Adriano Cipolla,
en haut : Yves Giucti, jean-Paul Morini et Hervé TabonePhoto prise dans la cour du petit lycée.
Elle est envoyée et commentée par Adriano Cipolla
« Peintres de Tunisie de 1900 à 1960 », à la mairie du 4ème
« Cette exposition, organisée par la Société d’Histoire des Juifs de Tunisie, présente les uvres de peintres tant tunisiens qu’européens ayant exercé durant l’âge d’or de la peinture en Tunisie de 1900 à 1960. Les tableaux donnent la vision d’une Tunisie plurielle et ouverte sur les cultures du monde.
En réaction aux traditions juive et musulmane qui interdisaient la représentation de la figure humaine, Pierre Boucherle et ses amis peintres, fondèrent l’école de Tunis, en adoptant les techniques et les thèmes de la peinture occidentale dans une perspective d’humanisme et de tolérance.
Vous découvrirez les uvres des pionniers, tels que Alexandre Fichet, Moses Lévy, Pierre Boucherle, Jules Lellouche, Yahia Turki, Abdelaziz Gorgi, et celles de la génération des peintres évoluant vers l’abstraction, comme Edgard Naccache, Victor Journo, Georges Koskas et Hedi Turki ».
Mairie du 4e, salle des fêtes
2, place Baudoyer
Paris4e
Métro Hôtel de Ville ou Saint-Paul ( par Mairie du 4e arrondissement)
Du lundi au vendredi 10h-18h ; le jeudi jusqu’à 19h30 ; samedi et dimanche 10h-12h et 14h-17h
Entrée libre
Hélène Sarfati-Leduc – anciennne de Carnot – fille du peintre Victor Sarfati, nous fait part de l’exposition intitulée « Peintres de Tunisie de 1900 à 1960, Visions et Mémoire ». Cette exposition a lieu du 4 au 14 Février dans la Salle des Fêtes de la Mairie du 4ème arrondissement de Paris.
Entrée libre.
1966.1967, classe de 8e4
En bas à G : Marc Vaccaullo
Au centre, 3ème à D : Adriano Cipolla, er à D : Michel Cohen ?
en haut, 4ème à G : Zoubeir BougheniaInstitutrice:Mme Dassaut
Photo envoyée par Adriano Cipolla
1960.1961, classe de Math Elem
en haut à gauche Girard ; Samson ; Mazet ; Gallay ; Vautrin ; Berdah ; Trigalou ; Mariani ; Hélène ? ; Dommange ; Najet Fourati,Mohamed Tahar Ezzine-Chikhaoui, ? Zribi, Professeur de philo M. Laffont.
Avec quelques trous de mémoire ….
Photo et commentaire de
1958.1959 – classe de 12ème
envoyée par Julie Khiatinstitutrice : Mme Duclos
Photo de Jean-Claude Khiat