ALEXANDRE LEVY (Carnot 1952.1962 seconde)

Notre ami Alexandre Levy est parti samedi 28 novembre, suite à une rupture d’anévrisme. Il avait 68 ans.
Alexandre, ça fait une vingtaine d’années qu’on le connaît, qu’on apprécie sa gentillesse, qu’on admire sa culture et sa soif de découvertes.
Il était le trésorier de l’association des anciens du lycée Carnot .
A Jacqueline, à Sophie, à ses petits-fils et à son gendre, nos plus affectueuses pensées .

L a L e t t r e m é l de mars 2014

Chers amis,
Le savez-vous ? le petit lycée Carnot, abandonné depuis de longues années, devient l’Institut Français de Tunis. Heureuse nouvelle !
La mi- juin sera pour nous l’occasion de programmer un week-end de 3 jours sur les incontournables sites d’Alsace : la route des vins d’Alsace, les visites de Strasbourg, d’ Obernai, de Saint-Odile, du Haut-Koenigsbourg et de Colmar. Dans quelques jours, nous vous enverrons le programme détaillé (circuit guidé, hôtels 3*, demi pension, aux environs de 310€ par personne en chambre double). Merci de nous faire savoir si cela vous tente de nous accompagner.
En attendant ….

Dimanche 23 mars à 20h30 au Théâtre du Gymnase Marie-Bell
L’Association Tuni Culture nous présente « Zaim Bourguiba » de Raja Farhat (version française)
Avec Raja Farhat et Amel Fargi
ZAÏM BOURGUIBA de Raja Farhat (tous deux anciens de Carnot) est une pièce biographique racontant la vie du « combattant suprême » à travers plusieurs péripéties: les victoires et les défaites, les vicissitudes de la vie politique, la guerre de Bizerte, les évènements douloureux , dans un style attrayant, non dépourvu d’humour malgré la gravité du contexte. La pièce évoque aussi la vieillesse, la maladie et la déchéance d’une fin de règne.
Réservez vite sur ticketac, Fnac …..

A savoir
L’institut français de Tunis bientôt installé dans les locaux de l’ex-petit lycée Carnot
L’ancien petit lycée Carnot ainsi que les anciens bureaux et appartements du proviseur, la vieille chapelle, les dortoirs et le réfectoire ont été réhabilités et transformés en Institut Français de Tunis. Ce projet, soutenu à l’origine par Madame Lanxade, épouse de l’ambassadeur de France, a mis vingt ans àse réaliser. Ces nouveaux bâtiments rassembleront bientôt en un même lieu, l’Institut Français de Tunisie (IFT) ainsi que tous les services culturels et de coopération : le centre de langue, la médiathèque, un auditorium, des espaces d’accueil et de convivialité avec un patio et un café, ainsi que les services administratifs et de coopération. Quant à l’autre aile du lycée, rue Saïf Ed-Dawla elle est Lycée Bourguiba depuis 1983.
Un ancien de Carnot Ministre de l’industrie tunisienne
Kamel Bennaceur, ancien élève du lycée Carnot (carnot 1966.1973/term C) , agrégé de mathématiques à 21 ans, diplômé de l’Ecole Polytechnique à 22 ans et de l’Ecole normale supérieure à 23 ans, est le nouveau ministre de l’Industrie, de l’Energie et des Mines. Nous lui présentons nos plus vives félicitations et nos vœux de réussite.

Carnet
Robert Stoll chevalier de la Légion d’honneur, chevalier de l’Ordre National du Mérite, croix de guerre 1939-1945, membre honoraire du Conseil supérieur des Français de l’étranger est décédé à L’Isle-Adam, le 28 janvier 2014, dans sa 93e année.
Robert Stoll (carnot 1926.1938/sec), dont l’ancêtre alsacien fut un des premiers français à s’installer en Tunisie en 1855, est une des personnalités les plus emblématiques de la relation franco-tunisienne. Pour en savoir plus sur la saga des Stoll en Tunisie, cliquez sur le lien ci-dessous : article de Tahar Ayachi paru dans le quotidien la Presse, le 17 février.
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:bhwVywVH66EJ:www.lapresse.tn/supplement/la-saga-des-stoll-en-tunisie.html+&cd=2&hl=fr&ct=clnk&gl=fr&client=firefox-a Nos plus sincères condoléances à Jean-François et Jérôme, ses enfants.

A lire
Bienvenue à Henin-Beaumont d’Haydée Sabéran, éditions la découverte (2014)
Hénin-Beaumont, au cœur du Pas-de-Calais, est devenu un symbole. Symbole de la désindustrialisation d’abord, tant ce territoire a été affecté par la crise du secteur minier, depuis les années 1970, et par des délocalisations à l’image de Metaleurop en 2003 et de Samsonite en 2006. Symbole de la faillite du Parti socialiste, aujourd’hui embourbé dans de graves affaires de corruption. Symbole de la progression apparemment irréversible du Front national enfin, au point que sa présidente Marine Le Pen, tente depuis plusieurs années de faire de cette commune de 30 000 habitants son fief électoral.
Grâce à une enquête de plusieurs années à Hénin-Beaumont, Haydée Sabéran explique comment cette ville plonge chaque jour un peu plus dans la catastrophe sociale et politique. Mais, en nous emmenant dans les usines et les corons, en se faufilant dans les rayons des supermarchés et dans l’intimité des familles, en nous accompagnant des salles d’attente du Pôle emploi aux coulisses du conseil municipal, l’auteure raconte avec subtilité une histoire plus singulière qu’on ne pourrait l’imaginer…
Haydée Sabéran (fille de notre ami Foad Sabéran) est journaliste et correspondante de Libération à Lille.

Et si le Diable était une Femme ? de Jacques Fiorentino, éditions Assyelle (2013)
Des nouvelles époustouflantes, pleines d’ironie, de sexe et de souffrances..Passé le premier ressenti assez brutal, le lecteur s’imprègne peu à peu de toute la finesse, la sensibilité de l’auteur…
Jacques Fiorentino (carnot 19553.1956/CP) est médecin-consultant

La Tunisie dans le tourbillon de la seconde Guerre Mondiale de Mohamed Noureddine Dhouib
Ce livre décrit les événements de la Seconde Guerre Mondiale en Tunisie qui ont eu lieu du 8 Novembre 1942 au 13 Mai 1943 . Il retrace, cartes et photos à l’appui, le déroulement des différentes batailles et leur aboutissement. Parallèlement à l’aspect militaire, l’auteur évoque la situation politique de la Tunisie à cette époque et surtout le calvaire de la population subissant les réquisitions, le rationnement des denrées de base, le marché noir, les bombardements aériens quotidiens et le tir croisé des belligérants.
Contact https://www.facebook.com/events/175184856021166/

PROGRAMME DE LA SHJT 2013.2014

= dimanche 13 octobre 2013 – Journée des Chercheurs :
Présentation de travaux récents sur l’histoire des Juifs d’Afrique du Nord, avec la participation de chercheurs français, italiens, israéliens et tunisiens (voir programme spécial ci-joint).
Cette journée se déroulera au Foyer International d’Accueil de Paris, 30 rue Cabanis 75014Paris

=lundi 18 novembre 2013 – Claude Nataf
Président de la S.H.J.T.
« Les Juifs et l’installation du Protectorat français en Tunisie»

=dimanche 8 décembre 2013
71ème anniversaire de la Rafle des Juifs de Tunis par les S.S. (9 décembre 1942)

►10h45 : Cérémonie traditionnelle d’hommage aux Juifs de Tunisie victimes de la barbarie nazie
Mémorial de la Shoah – 17 rue Geoffroy l’Asnier – 75004 Paris

►14h00 : « Les Juifs italiens en Tunisie pendant la Seconde Guerre Mondiale »
Table ronde avec la participation de :
– Marie-Anne Matard-Bonucci (Professeur à l’Université de Paris VIII, Directrice du Groupe de Recherche sur l’Italie au Centre d’Histoire de Sciences-Po Paris)
– Silvia Finzi (Professeur à la Faculté des Lettres et des Arts de Manouba –Tunisie)
Et les témoignages-souvenirs de :
– Guillaume Lévi, Renato Bensasson, Léo Morpurgo (sous réserve), Renée Sebag
Auditorium du Mémorial de la Shoah – 17 rue Geoffroy l’Asnier – 75004 Paris

►17h15 : présentation en avant-première du film « Les Juifs d’Afrique du Nord aux prises avec Vichy et les nazis (1940-1943) », film réalisé selon une idée de Serge Klarsfeld avec la participation de Michel Abitbol, Mohamed Kenbib, Abdelkrim Allagui, Claude Nataf, Ariel Danan, Benjamin Stora et de nombreux témoins (images inédites).

=mardi 21 janvier 2014 – Claire Rubinstein
Vice-président de la S.H.J.T.
« La représentation des Juifs d’Afrique du Nord par les peintres orientalistes :
esquisse d’une monde juif en mutation »

=mardi 11 mars 2014 – Julie Le Gac
Ancienne Elève de l’Ecole Normale Supérieure.
Chercheuse associée à l’Institut des Sciences Sociales du Politique
(Université Paris Ouest ENS Cachan)
«Contre Vichy, défendre la France et la République :
Les Juifs d’Afrique du Nord dans les Forces Françaises Libres »

=mardi 13 mai 2014 – Habib Kazdaghli
Doyen de la Faculté des Lettres et des Arts de Manouba – Tunisie
« L’ancienne nécropole juive de Tunis du Protectorat à l’Indépendance :
Un enjeu entre urbanisation et tradition»

=mardi 10 juin 2014 – Georges Bensoussan
Directeur de la Revue d’Histoire de la Shoah et de l’enseignement au Mémorial de la Shoah
« Une exclusion silencieuse : le départ des Juifs du Maghreb (1945-1970)»

Lieu des conférences Horaire des conférences : 18h30
Institut Universitaire d’Etudes Juives Elie Wiesel – 119 Rue Lafayette – 75010 PARIS (sauf 8/12/2013 Mémorial de la Shoah)
Métro : Poissonnière ou Gare du Nord
Parkings : Sogeparc – place F. Liszt (10°)

COLLOQUE INTERNATIONAL « LA CULTURE ITALIENNE EN TUNISIE »

Tunisiens de naissance, mais étrangers à leur pays adoptif, beaucoup d’entre eux ont vécu jusqu’au bout le rêve patriotique que cette frontière d’Italie, la Tunisie, sous protectorat français entre 1881 et 1956, devienne tôt ou tard italienne. La défaite de la seconde guerre mondiale, puis la décolonisation du pays, anéantissent toute velléité italienne de colonisation et brisent même le précaire équilibre franco-italien d’antan.

Si les intérêts du colonisateur français n’ont pas toujours correspondu à ceux des Italiens de Tunisie, le jeune Etat postcolonial, en quête de sa propre identité nationale n’arrive pas à intégrer ses communautés allogènes. Contraints au départ vers la France ou l’Italie, les Italo-tunisiens restent dans l’oubli pendant plusieurs décennies.

Se pencher sur la figure et l’œuvre d’Adrien Salmieri fournit une occasion d’étudier cet échange de cultures favorable à l’émergence d’une écriture sui generis.

PROGRAMME DU COLLOQUE

Vendredi 19 novembre, bibliothèque universitaire upv

14h00 Inauguration de l’exposition « Les Italiens de Tunisie : reflets de mémoire »

Vendredi 19 novembre, salle jourda

Adrien Salmieri, chantre de la colonie italienne de tunis

Modérateur : Guy Dugas

15h30 Guy Dugas (Directeur IRIEC Université Paul Valéry)

Ouverture du colloque

16h00 Isabelle Felici (Professeur en études italiennes, Université Paul Valéry)

Adrien Salmieri : italianité et ouverture culturelle

16h30 Alessio Loreti (Doctorant en littératures comparées, I.R.I.E.C. Université Paul Valéry)

Regards sur l’œuvre d’Adrien Salmieri : une écriture du combat

16h30 Débat avec Adrien Salmieri

Samedi 20 novembre, salle jourda

premiere SEANCE

Italie et Tunisie : perspectives socio-historiques

Modérateur : Alessio Loreti

9h30 Fiorenzo Toso (Professeur de linguistique, Université de Sassari)

La présence génoise en Tunisie: langues et cultures italiennes de Tabarka à Tunis (1700-1956)

10h00 Leila El-Houssi (Maître de conférences, Université de Florence)

Le chemin de l’émigration italienne en Tunisie : choix et perspectives d’une communauté du XIXème au XXème siècle

10h30 Michele Brondino (Directeur de l’association SECUM-EDM, Fossano)

La presse italienne de protestation sociale en Tunisie

11h00 Isabelle Felici (Professeur en études italiennes, Montpellier 3)

Domani (1935), une publication antifasciste à Tunis

11h30 Driss Abbassi (Historien)

Les représentations d’une référence historico-culturelle : l’«antiquité romaine» dans les manuels scolaires coloniaux et postcoloniaux en Tunisie

deuxieme séance

Cultures en partage et littérature

Modérateur : Isabelle Felici

13h30 Adrien Salmieri (écrivain)

A propos de quelques choix idéologiques de la collectivité italienne de Tunisie (1848-1938)

14h00 Alessio Loreti (Doctorant en littératures comparées, I.R.I.E.C. Montpellier 3)

Les Italiens dans l’espace culturel de la Tunisie coloniale

14h30 Guy Dugas (Directeur IRIEC Montpellier 3)

Elisa Chimenti, un surgeon judéo-italo-tunisien

15h00 Yvonne Fracassetti Brondino (Chercheur SECUM-EDM, Fossano)

Cesare Luccio entre colonisés et colonisateurs

15h30 Flaviano Pisanelli (Maître de conférences, Montpellier 3)

« La haine redevient ma seule volupté » : utopie et dissidence dans la poésie de Mario Scalesi (1892-1922)

16h00 Débat et conclusion des travaux

Adrien Salmieri et la culture italienne en Tunisie

Les Italiens de Tunisie

La figure d’Adrien Salmieri

Issu d’une famille de bourgeois italiens de Tunis, Adrien Salmieri, né en 1929, est l’auteur de plusieurs articles sur l’histoire et la culture de la communauté italienne de Tunisie et de nombreux ouvrages de fiction, pour la plupart en langue française.

C’est surtout dans son roman Chronique des morts (1974), à l’aide d’une analyse du passé réel et au fil de ses longues recherches à travers les abîmes d’une mémoire collective, que Salmieri reconstruit le passé intérieur des Italiens de Tunisie. L’auteur communique à son lecteur les « pensées secrètes » de ses morts. Salmieri veut offrir aux siens, qui sont devenus des fantômes incompris et errants dans les pages jamais écrites de l’Histoire, un monument littéraire qui réhabilite leur mémoire.

C’est autour de cette mémoire, individuelle et collective, qu’est construite cette rencontre qui se déroulera sur trois demi-journées. La première sera consacrée à la figure d’Adrien Salmieri.

La deuxième journée sera plus généralement consacrée aux manifestations de la présence italienne en Tunisie, aux écrivains italo-tunisiens (Cesare Luccio, Mario Scalesi, entre autres) et à la presse italienne de Tunisie.

En marge du colloque, la bibliothèque universitaire de Lettres accueille une exposition intitulée Les Italiens de Tunisie : reflets de mémoire.

Comité d’organisation : Guy Dugas, Isabelle Felici, Alessio Loreti

L’Université Paul Valéry – Montpellier III nous invite au Colloque International « Adrien Salmieri et la culture italienne en Tunisie »
Vendredi 19 novembre et samedi 20 novembre 2010

C’est avec une vision d’ouverture qu’il faut revisiter l’expérience des Italiens de Tunisie, qui ont vécu au carrefour des peuples de la Méditerranée.

LE VENT DES MARCHES DE Charles LANCAR

Paris, aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale. Les halles, qui abritent les marchés, sont la scène où se côtoient anciens combattants et résistants, collabo repentis, marchands de toujours, syndicalistes et étudiants, voire même certains jours les dames des beaux quartiers.
On y suit la vieille Adélaïde, surnommée la Lionne des marchés pour son engagement de toujours dans la défense du métier. Son fils Antoine, ancien poilu respecté de tous, a repris son étal mais aussi son combat, devenant à son tour chef du syndicat des marchands. Au contraire, son second fils, Adrien, a définitivement quitté les halles pour devenir avocat, puis s’engager en politique, en prenant soin de faire oublier ses compromissions dans le régime de Vichy. Cédric, jeune lycéen à la recherche de la vérité sur la mort de sa mère, se chargera de les lui rappeler.
Au fil de leurs rencontres se dessine peu à peu un tragique secret de famille. Cette saga familiale attachante est aussi l’occasion pour Charles Lancar de faire revivre le Paris d’après-guerre qui entre dans la modernité. Un Paris festif malgré les rationnements et les règlements de compte, croqué avec une plume alerte et parsemé de tableaux authentiques.

Né à Tunis en 1943, Charles Lancar est écrivain et vendeur sur les marchés parisiens, un terreau dont il s’inspire pour offrir aux lecteurs des romans à la fougue et l’imagination dignes des grands feuilletonistes du XIXe siècle. Charles Lancar est l’auteur de nombreux livres dont Les Racines du figuier (Plon 1997), et Café crème (Ramsay, 2005). Il a déjà brossé la vie des marchands parisiens dans plusieurs romans dont Antoine paru chez Belfond en 1998.
Dans le Paris des années d’après-guerre, le chassé-croisé des membres d’une famille de marchands, au fil des amours et des conflits politiques qui les déchirent ou les réunissent.
Charles Lancar (lc 1956/6eme) nous entraîne dans une saga familiale qui brosse une vaste fresque. Belfond 2010

DE MADHIA EN PASSANT PAR ELDJEM ET KERKENNAH A HAMMAMET

Programme indicatif

J. 1 mercredi 28/07/2010 Rendez-vous à l’aéroport. Vol régulier Air France. Arrivée dans l’après-midi à Madhia en bus climatisé. Dîner et nuit au Madhia Palace

J. 2 jeudi plage/mer ou sport ou farniente jusqu’à 17 h, heure à laquelle nous prendrons le bus pour la Médina de Madhia, riche de ses nombreux bijoutiers et de ses belles demeures, en particulier celles de la rue des Hamza.
De la «Skifa Kahla» à la Grande Mosquée, en passant par la rue des tisserands de soie, et guidé par un responsable de l’Association de sauvegarde de la Médina, nous découvrirons une médina unique, récemment réhabilitée, et entièrement perchée sur la mer. En effet la Méditerranée vous regarde à chaque coin de ruelle !
Le paysage le plus extraordinaire est un immense cimetière marin aux tombes désordonnées qui s’étend sur de vastes étendues, en pente douce, jusqu’au rivage. D’une médina cosmopolite il y a encore quelques quarante ans, il reste une cathédrale désaffectée mais admirablement rénovée et les ruines d’une synagogue.
19H Retour à l’Hôtel
21H Dîner dans un des meilleurs restaurants de poissons de Madhia au son d’un luth.

J. 3 vendredi, après le petit déjeuner, retour à la médina car c’est jour de marché, et le marché du vendredi est incontournable ! Toute la ville se transforme en vaste souk, mais l’élément le plus important est le marché de la soie, véritable caverne d’Ali Baba car de vieilles brodeuses et couturières y exposent des costumes traditionnels de mariage en soieries et dorures. Après cette belle balade, on ira faire une pause au Café Gamra où les habitués se retrouvent à l’ombre des arbres entrelacés.
Retour au Madhia Palace
Après midi à la plage (ou ailleurs) :Il se dit que les plages de Madhia sont les plus belles de Tunisie : sable couleur farine, mer turquoise ; sans algues indésirables et avec une brise qui, en été, rafraîchit agréablement.
20H30 Dîner dans un des meilleurs restaurants de poissons de Mahdia, nuit au Madhia Palace.

J.4 samedi après le petit déjeuner, départ pour El Djem à moins d’une heure de Madhia pour une visite guidée d’un lieu mythologique : sur la route du Sahel, à travers les oliveraies, apparaît soudain la façade du colisée romain d’ El Djem. Cet amphithéâtre, de 35000 places, est le troisième en taille après ceux de Rome et de Capoue. Il était un lieu de rassemblement et de spectacles très populaires [combats de gladiateurs et autres grandes messes]. La façade extérieure, très bien conservée sur la face sud, est formée d’une superposition de trois niveaux d’arcades. A l’intérieur, on peut se perdre dans les galeries circulaires voûtées aux perspectives vertigineuses. Après-midi libre.
Dans la soirée retour au colisée d’El Djem pour assister à une représentation de l’orchestre de l’Opéra de Toulon (Festival International de Musique Symphonique d’El Jem), sous réserve de programmation définitive
Diner et nuit au Madhia Palace.

J. 5 dimanche matinée libre. Vers 14h départ pour les Iles de Kerkennah.
Avant de prendre le ferry sur le port de Sfax, tour de ville – en bus – de la ville moderne avec ses immeubles années 1930 de style art-déco et néo-mauresque, ses grands bâtiments officiels (dont certains en forme de mosquée, avec coupoles et tours évoquent des minarets), sa synagogue, ses églises grecques et catholiques. Puis à pied par Bab Diwan, promenade dans la médina de Sfax, cernée de remparts dont certains vieux de douze siècles. C’est une des plus belles kasbahs de Tunisie, elle a même été choisie comme un des lieux de tournage du film « Le patient anglais ». Il est à remarquer que très peu de touristes s’arrêtent à Sfax qui est une cité économique et industrielle, la deuxième du pays.
En fin d’après-midi, traversée en ferry pour atteindre Kerkennah en 1H3Omm.
Dîner et nuit au Grand Hôtel.
J. 6 lundi : Pour décrire les Iles de Kerkennah, quoi de mieux qu’un extrait d’un article de Guy Deleuze : Honolulu, les Marquises ? Qui d’entre nous n’en a jamais rêvé ? Pourtant à 21 kms au large de Sfax somnole un merveilleux archipel oublié. Des îles abordables. 35 km sur 7 de sables d’or que foulent avec tendresse 900.000 palmiers ondulant sous la caresse d’un vent tiède venu du désert. Point d’usine ni de foule, ni de grand-route ni d’aéroport. Une mer translucide, peu profonde et donc chaude, d’oblongues plages, des éponges et des coquillages. Deux hôtels. Et vous !
Plage, mer et farniente jusqu’à 17H puis tour des Kerkennah guidé par un enseignant passionné par ses îles. Dîner –spectacle, nuit au Grand Hôtel
J. 7 mardi : journée en mer à bord d’une felouque entre plongée dans les eaux chaudes, grillade de poissons fraîchement pêchés et musique. Tout simplement paradisiaque!
Peut-être le savez-vous, à Kerkennah les pêcheurs sont propriétaires de leur lopin de mer. Dîner, nuit au Grand Hôtel
J. 8 mercredi : retour à Sfax par le ferry puis direction Hammamet et l’Hasdrubal spa. Après-midi libre.
Dîner et nuit à l’Hasdrubal

J9 jeudi : journée libre et dîner libre, nuit à l’Hasdrubal.
Hammamet vous connaissez ? mais Hammamet Yasmine où se trouve l’Hasdrubal ? Pour résumé, cela ressemble à Porto Banus (Andalousie), sans ses boutiques de luxe et ses milliardaires mais avec sa marina, ses plages et promenades, ses restaurants, ses casinos…

J 1o vendredi : journée et dîner libre, nuit à l’Hasdrubal
J 11 samedi : dîner « spécial » , nuit à l’Hasdrubal
J 12 dimanche : dîner libre et nuit à l’Hasdrubal
J 13 lundi : journée libre et dîner et nuit à l’Hasdrubal
J14 mardi : journée libre et dîner et nuit à l’Hasdrubal

Durant notre semaine à Hammamet, nous programmerons une visite à Tunis et environs, plus d’information dans quelques semaines.

J15 mercredi : départ en début d’après-midi pour l’aéroport Tunis-Carthage
MERCI D ETRE SI NOMBREUX A PARTICIPER AU CIRCUIT TUNISIE. NOUS NE PRENONS PLUS D’INSCRIPTION. (le 1ER JUIL 2010)

Pour nous cet été c’est la Tunisie ! circuit la première semaine : Madhia,El Djem, les Iles Kerkennah et la seconde semaine farniente dans un palace à Hammamet.
du mercredi 28 juillet au 11 août

programme indicatif, toute info au 0620884052

« ANNE, LE MUSICAL », AU THEATRE DEJAZET

Anne, nous entraîne dans l’annexe qui servit de refuge à plusieurs familles pendant la Seconde Guerre Mondiale. De la relation privilégiée avec son père, de ses premiers émois amoureux en passant par les rapports conflictuels liés à la promiscuité contrainte des occupants, le spectacle nous livre le quotidien d’une adolescente pleine de vie.Anne le musical, hommage à Anne Frank, au théâtre Déjazet du
5 Mai au 30 juin 2009!
L’équipe de production poursuit l’aventure «Anne le Musical » au théâtre Déjazet, une nouvelle destination pour que le rêve devienne réalité et qu’« Anne le musical » s’installe à Paris jusqu’au 30 juin 2009.
Jean-Pierre Hadida l’enveloppe de ses paroles et de sa musique. Christine Giua et Pierre-Yves Duschesne réalisent la mise en scéne.
Jacques Rouveyrollis s’est penché sur sa lumière.
Adresse : 41 boulevard du Temple, Paris 3ème, métro République.

DANS « JEUNE AFRIQUE » DU 28/4/08: TRES COTES, TRES COUTEUX LES LYCEES FR DE TUNIS

Tous ont encore en mémoire des fous rires et moments d’insouciance passés dans les cours ensoleillées des lycées français de Tunisie. « Ce sont mes plus belles années. Le lycée Carnot de Tunis était un lieu d’enseignement privilégié. Juifs, chrétiens ou musulmans, nous étions tous comme des frères », se souvient Hamed Ben CHEDLY, aujourd’hui médecin à La Marsa, dans la douce banlieue nord de Tunis. « C’était le temps des boums du samedi soir, des soirées guitare, de la préparation des examens, de la solidarité et de la fraternité entre différentes communautés », ajoute une ancienne élève du même établissement.
Philippe Séguin, l’actuel président de la Cour des comptes française et ancien élève du lycée Carnot, explique cette ambiance particulière : « Il y avait des Français, des Siciliens, des Juifs, des Arabes, des Maltais, etc. Aujourd’hui, cette relation entre gens issus de ces lycées va au-delà de tous les clivages politiques, religieux et nationaux. Nous partageons des souvenirs et des références qui sont, en fin de compte, des valeurs communes. »
Certains de ces adolescents qui ont grandi ensemble sont devenus aujourd’hui d’éminentes personnalités. Habib Bourguiba, ancien président de la République tunisienne, Ferid Boughedir, cinéaste tunisien, Georges Wolinski, dessinateur, ou encore Michel Boujenah, comédien et humoriste, ont tous usé leurs fonds de culotte sur les bancs du lycée Carnot. Pendant un siècle (1882-1983), cet établissement a accueilli des milliers d’élèves issus du pourtour méditerranéen avant d’être intégré au système éducatif tunisien, et de devenir le lycée pilote Bourguiba.

LA MISSION FRANCAISE PLEBISICITEE
Actuellement, il existe en Tunisie deux lycées français : le lycée Pierre-Mendès-France dans le quartier tunisois de Mutuelleville, et le lycée Gustave-Flaubert, à La Marsa, plus connu sous le nom de « lycée Cailloux ». Tous deux dépendent de l’Agence pour l’enseignement du français à l’étranger (AEFE) et sont intégrés au réseau des 430 lycées français disséminés à travers le monde. Tous ces établissements ont en commun les mêmes méthodes et des programmes similaires, élaborés par le ministère de l’Éducation nationale français.
À l’origine, ces lycées ont été mis en place pour scolariser les enfants des expatriés, mais aussi, et surtout, pour former dans les pays colonisés ou sous protectorat, une intelligentsia locale favorable à la France. « Les lycées français à l’étranger constituent un atout majeur pour la francophonie et pour l’influence de nos idées, de nos valeurs et de notre culture dans le monde, affirme-t-on au ministère des Affaires étrangères français. Les étudiants étrangers issus de ces établissements seront susceptibles de devenir des interlocuteurs précieux dans le cadre des responsabilités qu’ils assureront plus tard. C’est particulièrement vrai pour la Tunisie, pays avec lequel nous avons toujours des relations très étroites. » En clair, ces lycées sont de véritables pépinières pour futures élites francophones.
Aujourd’hui, leurs élèves sont pour une grande majorité des nationaux francophones, auxquels s’ajoutent un certain nombre de binationaux et quelques étrangers. La mission première de ces lycées est d’assurer la continuité du service public français à l’étranger afin que tout élève français puisse poursuivre une scolarité classique en Tunisie. Mais, compte tenu de la proportion des nationaux (plus de 60 %) dans les effectifs, ces établissements jouent de plus en plus un rôle d’interface entre la France et le pays d’accueil (apprentissage obligatoire de la langue, diplômes binationaux, activités culturelles, etc.). Leur objectif est donc de prodiguer un enseignement de qualité et en parfaite adéquation avec les programmes pédagogiques en vigueur en France.
Un système qui attire de plus en plus les Tunisiens. Pour l’année scolaire en cours, plus de 3 000 élèves sont inscrits dans un établissement français de la sixième à la terminale, dont 1 630 au lycée Pierre-Mendès-France et 1 500 élèves au lycée Gustave-Flaubert. « J’ai fait le choix d’inscrire mes trois filles au lycée Gustave-Flaubert et j’en suis ravie, explique Latifa, 56 ans, comptable. Elles ont une bonne culture générale et font preuve d’imagination et d’esprit d’initiative. Le melting-pot de ces lycées français est une vraie chance pour elles. C’est un passeport pour la modernité. »
Les parents, souvent issus eux-mêmes d’un établissement français, voient dans cette scolarité un accès plus facile à des études supérieures à l’étranger, et plus particulièrement en France. « J’ai fait mes classes au lycée Carnot de Tunis et j’ai préféré inscrire mon garçon à la Mission française afin qu’il puisse plus tard poursuivre ses études universitaires en France. Soyons honnêtes : avec le durcissement des conditions d’obtention d’un visa pour l’Hexagone, un élève issu d’un lycée français a plus de chances d’intégrer une faculté française qu’un élève du système local tunisien », confie Rafik, industriel dans la région de Sfax. Ainsi, en 2007, 65 % des élèves ayant obtenu leur baccalauréat au lycée Gustave-Flaubert ont choisi de poursuivre leurs études universitaires dans un établissement français et seuls 18 % ont opté pour un établissement local. Autre avantage non négligeable des lycées français, le renforcement récent de l’enseignement de l’arabe. « Le bon niveau de la langue arabe m’a encouragée à y scolariser mon fils. Aujourd’hui, il est aussi à l’aise en français qu’en arabe. C’est un atout de taille », explique Karima, femme au foyer.

GRATUITE POUR LES FRANCAIS
Mais tout le monde n’a pas si facilement accès aux lycées français, loin s’en faut. Avec des frais de scolarité annuels de 1 400 DT (777 euros) pour le premier cycle et de 1 800 DT (1 000 euros) pour le deuxième cycle, nombreux sont les parents qui n’ont pas les moyens d’inscrire leurs enfants à la Mission française. Seule une élite fortunée peut offrir ce type de cursus à ses enfants. D’ailleurs, les élèves sont issus, pour l’essentiel, de la bourgeoisie commerçante et industrielle, ou de familles dont les parents exercent des responsabilités politiques ou une profession libérale. « Il est impossible pour nous de payer des frais de scolarité aussi élevés, confie le couple Trad, tous deux cadres moyens dans une banque de Tunis. Nos salaires réunis ne suffisent pas pour inscrire nos deux enfants dans un lycée français. Alors nous avons opté pour un lycée local et, finalement, tout se passe très bien. Même si, au fond, nous regrettons la Mission française. » Il est normal de payer des frais de scolarité, « mais à ce niveau-là, seuls les privilégiés y ont accès », peste un autre parent d’élève. Ces droits d’inscription, souvent prohibitifs et inaccessibles pour une grande partie de la population, financent le budget de fonctionnement des établissements ainsi qu’une partie des salaires des professeurs recrutés sur place.
Jusqu’à une date récente, les nationaux et les élèves français payaient les mêmes montants en frais de scolarité. La situation ne devrait plus durer puisque la gratuité pour les expatriés était l’une des promesses de Nicolas Sarkozy lorsqu’il était candidat à l’élection présidentielle. Le 28 février 2007, ce dernier déclarait, devant un parterre d’expatriés réunis au Palais des congrès de la capitale espagnole, vouloir que « les Français de Madrid, de New York, de Tokyo, de Shanghai, de New Delhi ou de Tunis ne se sentent pas abandonnés mais, qu’au contraire, ils aient le sentiment que la France ne les oublie pas ». Un message qu’il a d’ailleurs répété un mois plus tard. La baisse des coûts de scolarité était, en effet, une vieille revendication des Français de l’étranger. Cette réforme s’appliquera dans le monde entier. Premières à en bénéficier : les classes de terminale, dont les frais de scolarité devraient être remboursés dès cette année aux parents d’élèves français. Les classes de première et de seconde profiteront de mesures équivalentes lors des prochaines rentrées. Mais, pendant ce temps, les nationaux continueront de payer le prix fort. Se former à l’école française restera donc encore longtemps un rêve que seuls les enfants de l’élite pourront concrétiser.
L’aura des lycées français reste forte. Même si, compte tenu des frais de scolarité élevés, les deux établissements existants en Tunisie apparaissent de plus en plus sélectifs.
Célèbres ou anonymes, les anciens de ce qu’on appelle communément la « Mission française » en parlent souvent la larme à l’œil.

UN FILM DE KARIN ALBOU SUR TUNIS DANS LES ANNEES 40 !


Les allemands, à coup de tracts diffamatoires, tentent de monter les communautés l’une contre l’autre et soutiennent les musulmans contre « l’ennemi juif ». Khaled, contraint de travailler pour avoir le droit de se marier accepte de travailler pour la kommandantur…
Nombreux sont les films qui traitent de la seconde guerre mondiale, mais rares sont ceux dont l’action se situe dans un protectorat ; la propagande nazi y est très présente, et les répercussions sur les personnages, extrêmement fortes. La présence même des soldats allemands hante le film : silhouettes d’hommes, bruits de bottes, couvre-feux, explosions. Et pourtant, loin d’une grande fresque historique, Karin Albou choisit l’intimité des maisons et le point de vue féminin pour percevoir la guerre. Les fenêtres deviennent des postes d’observation où chacune se glisse le soir.

Mais la violence n’est pas que du côté allemand, et c’est en quoi le film ne tombe jamais dans les clichés ou la caricature. Le Hammam est un lieu de conflit entre juifs et musulmans, et les magasins participent à la séparation des communautés (l’« indigène » lancé à Nour dans la boutique de robes de mariage en est symbolique). L’image elle-même joue avec cette dureté ; le gris, le bleu glacé dominent.

Les deux jeunes femmes sont toutes deux frappées par cette dureté : elles sont sous le joug de leurs mères, enfermées dans un schéma social très traditionnel, et contraintes au mariage forcé. Nour est fiancée à Khaled, Myriam se voit contrainte d’épouser Raoul pour payer la forte taxe imposée aux juifs. La guerre fait tout pour les séparer : elles sont toujours collées l’une à l’autre au début du film, dans un mode fusionnel, avant de s’éviter jusqu’à faire semblant de ne plus se voir. A cela s’ajoutent les préoccupations liées à l’adolescence, les interrogations sur l’amour, la découverte de la sensualité, et l’angoisse de ces hommes qu’on leur fait éviter soigneusement depuis leur plus tendre enfance.

Tous ces thèmes mêlés avec retenue et finesse font de ce film un objet magnifique. Bizarrement, on a l’impression de redécouvrir la période. Aux antipodes du déjà-vu, Karin Albou cultive l’ambiguïté de personnages dont aucun n’est parfait, et brosse un joli portrait de ces femmes, enfermées dans une société aux accents féodaux.

Heloïse Vandesmet Toullec www.dvdrama.com/
« Le chant des mariés » : Tunis, 1942. Nour et Myriam sont amies depuis leur enfance et vivent à deux pas l’une de chez l’autre. Pourtant elles n’appartiennent pas à la même communauté : Nour est musulmane, Myriam est juive, et n’ont pas la même vie (Myriam va à l’école tandis que Nour aide à la maison). Chacune rêve secrètement de la vie de l’autre : Myriam envie les fiançailles de son amie avec Khaled, Nour aimerait apprendre à lire. En 1942, lorsque l’armée allemande pénètre dans Tunis, l’amitié des jeunes filles s’érode petit à petit.
(film en salles à partir de mercredi 17 décembre)

DE TIBERIADE A EILAT, DE JERUSALEM A PETRA

Georges-Gad entre Lina et Michel dans son kibboutz (il vit depuis 63 ans à REGAVIM) et la photo de sa classe de seconde en 1940.
la baie d’HAIFA. Au premier plan, le temple BAHAI et ses magnifiques jardins.
Un dicton populaire dit qu’on travaille à HAIFA, qu’on prie à JERUSALEM et qu’on s’amuse à TEL-AVIV
traversée mouvementée du lac de TIBERIADE
pour arriver au Capharnaüm, sur la rive Est du lac de TIBERIADE, photo des vestiges de la synagogue dans laquelle est venu prêcher Jésus-Christ
Alex, notre guide, un personnage à la John Wayne.
c’est toujours la fête ! là autour du piano de l’hôtel DAN à TEL AVIV
le passage de la frontière isralo-jordanienne
PETRA la magnifique et son trésor
Ce voyage, c’était pour certains d’entre nous une découverte, mais aussi des témoignages et des rencontres.
Pour Michel et moi, l’image que nous gardons au cœur, c’est l’accueil et le sourire de Georges CHEMLA dans les jardins de son kibboutz, photos de classe en mains l’hymne du lycée Carnot toujours en tête et bon pied, bon oeil à 85 ans(carnot 1935 à 1942/math-élem).