Des noms: Bessis, Glaizol, Goziel, Husan, mon très cher ami Yves Murau, Salerno, Farruggia, Cohen, Sarfati, RomeoPhoto de Jean Graffeo
Des noms: Bessis, Glaizol, Goziel, Husan, mon très cher ami Yves Murau, Salerno, Farruggia, Cohen, Sarfati, RomeoPhoto de Jean Graffeo
Des noms me reviennent : Romeo, Agnello, Alastra, Koskas, Tartamella, Gliozzo, Rizzo, Atlan, Molinari, Castro,… Photo de Jean Graffeo
Photo de Fabrizio Pampalone
Quelques noms de cette classe: Halfon, Gozlan, Bismuth, Cohen, Katzanbis, Tartamella, Samama, Bessis, …Photo de Jean Graffeo
Le premier assis sur la chaise à gauche est
Xiberas, le fils du menuisier du Carnot.
Le deuxième c’est moi.
Le 5ème Jean-Marie Bianchi.
Le 6ème Antoine Maccotta Photo de Jean Graffeo, institutrice Mme Duclos
Si vous vous reconnaissez, je serais ravi de renouer des contacts !Photo de Fabrizio Pampalone au dernier rang, 3ème à partir de la droite
Message de Chaïbi Abdelhafid.
J’ai découvert cette photo sur votre site. J’ai eu beaucoup de plaisir à revoir mes anciens camarades de classe. Je me nomme Chaïbi Abdelhafid.J’ai quitté le lycée en 1972 .Je suis à la dernière place au dernier rang sur celle ci.
Je réside depuis en France dans le Var. Je souhaiterai avoir des nouvelles d’un ancien élève du lycée carnot nommé Serge Attal.
Carmen Licari vit en Italie, elle est professeur de langue et de littérature françaises à l’Université de Bologne. Dans « L’école bleue », elle se revoit là-bas à Tunis, mais c’est loin. Si loin la maison, l’école, la ville, les villages de la côte nord, la plage et celles et ceux qui y étaient avec elle. Et pourtant, c’est un peu comme si c’était encore tout près. Des sons, des images, des odeurs, tout un monde enfoui que Carmen Licari réveille dans « L’école bleue », éditions L’or du temps (Tunisie)
Colette Fellous – term.67 – (qui dirige au Mercure de France une collection de récits où de grands écrivains) continue d’explorer la trame complexe de son univers familial.
L’histoire commence très exactement le 5 juin 1967, jour frontière dans l’existence de l’auteur. Elle est à Tunis, à la veille de passer son bac, quand éclate la guerre des Six-Jours. A dix-sept, elle se découvre étrangère à son pays natal, stupèfiée par le déferlement de violence qui balaie Tunis. Cette journée, où elle reste calfeutrée dans son appartement mitoyen de la grande synagogue, marque aussi pour elle le point de départ des drames du Moyen-Orient. »Aujourd’hui » (Gallimard) a obtenu le prix Marguerite-Duras 2005
email : stelviopietro@tiscali
Je m’appelle Stelvio Samperi. je vis à Rome. Cette photo a été faite à Tunis en cours moyen 1ère année avec comme institutrice Melle Clanet. Salut à tous et merci.
Si le hasard fait que quelqu’un se reconnait, bien qu’à présent nous avons tous un âge »certain », c’est avec plaisir que je reprendrai contact.Institutrice Mme Jourdan
Photo Marcel Camilleri
Félicitations pour ce site qui me replonge 25 ans en arrière.
Photo d’Olivier Waille.
J’ai retrouvé une photo où l’on peut voir Hatem Bourial au deuxième rang à gauche. La fille en bas à gauche est je crois Noura Sghaier. Je ne me rappelle plus les noms, dommage!!
Si vous vous reconnaissez mettez un nom sur les autres personnes.
Wafa JouiniDans la cour du lycée avec Hatem Bourial, journaliste-écrivain, Noura Sghaier,…
Photo de Wafa Jouini