LE MENSONGE DE VARSOVIE

Des photos d’époque en noir et blanc permettent aux lecteurs de retrouver « l’ambiance de la fin des années 80 » à Varsovie, paysage neigeux, 1er mai, vie active, visite du Pape Jean Paul II… Les photos sont de Bernard Antoine DISS, des diapositives couleurs scannées par notre graphiste et « passées » en noir et blanc pour l’impression.

Un court extrait :

Prudemment il me demanda : «Où avez-vous appris le polonais ? Aviez-vous des contacts, avant votre affectation, dans ce pays ?» – «Vous savez, finit-il par me glisser en souriant, je ne parle pas aussi bien le français que vous (c’était tout à fait inexact), mais je voudrais vous proposer un marché : vous nous aidez et nous vous aiderons.» J’étais abasourdi et ne sus comment réagir. Avais-je bien saisi le sens de cette transaction ? «Vous êtes à Varsovie depuis quelques mois ; vous vous êtes sûrement fait quelques amis ; les Polonaises sont jolies, n’est-ce pas ?» C’était un piège adroitement construit : on s’y sentait pris dès qu’on l’eut flairé.

ISBN N°978-2-917790-04-5
72 pages – Format 14×20 cm
Texte et photos de Bernard Antoine DISSLa maison d’édition Baie des anges publie avec ce roman une tranche de guerre froide ! C’est l’histoire d’un jeune professeur Bernard Antoine DISS expatrié à Varsovie pour enseigner à l’Université, pendant les années 1976 à 1980 en pleine guerre froide et bien avant la chute du Mur de Berlin. Bernard nous raconte dans ce récit largement autobiographique la vie à l’époque du communisme, une époque révolue mais que les plus anciens d’entre nous garde en mémoire…
Bernard DISS a été professeur de lettres au lycée Carnot dans les années 70.

JEROME BERTIN (LC 1976.1977)


à partir du samedi 1er novembre et cela pendant 6 semaines.
Jérôme Bertin a été longtemps journaliste (présentateur à France Info et LCI) avant de devenir comédien (La fleur du mal de Claude Chabrol, Podium de Yann Moix, Pédale Dur de Gabriele Aghion, Ils se marièrent et… d’Yvan Attal, etc..).

Si vous souhaitez entrer en contact avec lui, laissez un message sur alct@free.fr
N’hésitez pas à regarder  » Disparitions » chaque samedi à 20h30 sur France 3.
Vous y reconnaitrez, peut-être, Jérôme BERTIN un de vos copains de Carnot. Il est le héros de la nouvelle série de France 3 qui sera diffusée

BOESCH MARGUERITE

Moi-meme, j’étais élève au petit lycée Jules Ferry, au lycée Armand Fallières puis à Alger au lycée Delacroix.
En 1946, mon père a été nommé à Paris, au lycée Charlemagne, et moi j’ai commencé mes études d’allemand à la Sorbonne.
J’ai enseigné dans différents lycées de France. En 1957, je suis retourné à Tunis comme professeur d’allemand au lycée Armand Fallières(jusqu’en 1963)où j’avais été élève.
Puis de 1963 à 1968 au lycée français de la Marsa et à partir du 1er octobre 1968, j’ai été nommé au Lycée Carnot jusqu’en 1976.
Comme beaucoup de collègues rappelés en France, j’ai terminé ma carrière dans un lycée en France, pour moi c’était le lycée Kléber de Strasbourg.
Vous voyez que j’ai des liens très forts avec le lycée Carnot !
J’ai maintenant 80 ans et ne me déplace plus guère. Mais je serai ravie de recevoir l’annuaire 2006.2007.
Bien amicalement Marguerite Boesch
A vous ses anciens élèves, je vous propose de faire une chaine de l’amitié autour de Mme Boesch, soit en lui écrivant par notre intermédiaire – alct@free.fr -, soit en l’appelant au 03 88 35 49 98
Lina
le 29 mars 2009
Marguerite Boesch est décédée lundi 23 mars 2009.
Marguerite Boesch, prof d’allemand au lycée Carnot – de 1968 à 1976 – nous écrit et adhère à l’ALCT : J’ai bien reçu votre dernière lettre d’information. Je n’ai jamais été élève au lycée Carnot, mais mon père, Georges Boesch, agrégé d’allemand y a enseigné de 1921 à 1943, avant d’etre nommé à Alger.

1975.1976, classe de seconde AB2


Professeur M. MALICE
En haut à gauche : Alya Ben Ayed , Karim Bescharnia , Mohamed Lahsoumi ,Abderhamim Ayari , Abitbol , Mr ? , Adel Ghariani , Hichem Khemakhem , Faouzi Ben Hassine , Tarek Briki .

Milieu : Mr Malice , Hajer Berrabeh , Melle ? , Melle ? , Mr ? , Mr ? , Mr ? , Mr ? , Saloua Ben Khalifa , Ferdaous Djemali , Samira Chakroun .

En bas à gauche : Brigitte Zagdoun , Melle ? , Melle ? Melle ? , Fatma Cherif , Mahassen Nouira , Mr ? , Denizar Berrachid

Photo et liste envoyées par Tarek BRIKI : ci-dessous les noms de mes camarades de classe. Que les points d’interrogations m’excusent et que celles et ceux qui ont plus de mémoire que moi complètent. Merci.

1975-1976, classe de 6ème 5


Au premier rang de gauche à droite: Sylvio Cascio, Fayçal Bekri, Hedi Fakhouri, Jacob Sayada, Ilya ?, Imad Barhoumi, Jean-Jacques Ramisse, Etienne Fournet, Valérie Hacide, Emma Ben Youssef.
Au deuxième rang: Nabil Chaherli, Jean-François Dimanche, Adel Zmerli, ? Hélioui, René Rallo, Myriam Chamli, Fatma Belkadi, Leïla Chebil.
Debout: Mireille Pandolfo, Brahim Ouardani, ? Mzali, Karim Habib, Tarak Zanouni, Françoise,Maudoux, Karine Bardavid et Mme Nicolette TillardPhoto et liste envoyées par Etienne Fournet.
Mme Nicolette Tillard, professeur d’histoire-géo.

Le Palmarium


A l’automne 1902, les travaux de « l’ensemble municipal » s’achèvent.
A côté du Tunisia-Palace, premier grand hôtel d’Afrique du Nord et véritable joyau architectural,


le Théâtre municipal, le Palmarium et le Café du Casino ouvrent leur portes.

Maître d’ouvrage de l’ensemble longeant à la fois l’avenue Jules Ferry (actuelle avenue Habib Bourguiba) et l’avenue de Carthage, un architecte au nom lumineux : Resplandy. (ces 4 cartes postales sont tirées du site http://michel.megnin.free.fr/vt_rues.htm)
Ce siècle nouveau cherchait un style et il trouva l’art nouveau, tout en courbes, en volutes, en motifs végétaux et en clins d’œil à l’architecture arabe. Resplandy s’en inspire pour dessiner l’ensemble municipal.
Le Palmarium est d’abord un jardin de palmiers d’où son nom d’ailleurs : « A l’ouverture officielle du Municipal, le gratin franchit, à l’entracte, les portes du foyer d’alors, et pénétra émerveillé dans un jardin d’hiver qui était la reproduction d’une douce oasis de carte postale. Il y avait du sable, des ruisseaux (…) et surtout des palmiers authentiques qui sortaient de terre et respiraient un Sahara apprivoisé » ( Pierre Legrand, 1951).
Vers 1907, le Palmarium se transforme en music-hall sur la scène duquel se produit Maurice Chevalier, Georgel, Mistinguet ainsi qu’une longue file d’acrobates, de comiques et de magiciens.
En 1914, la guerre en fait un dispensaire militaire.
Il ouvre à nouveau ses portes en 1920 gardant sa fonction de music-hall et attirant jusqu’en 1933 les ballets russes, des opérettes, Lucienne Boyer et Charles Trénet.
Mais en ce début des années 30, le cinéma fascine et connaît une popularité croissante. Le music-hall lui cède la place. C’est ainsi qu’en 1933, l’architecte Piollenc le transforme portant un coup à l’unité du monument de Resplandy.
La seconde guerre mondiale réserve au Palmarium un sort tragique : une bombe tombe au beau milieu de la salle le 2 mars 1943.
Rénové, la mythique salle de cinéma renaît de ses cendres, le 5 février 1951.

L’une des nouvelles annexes de ce troisième Palmarium sera la salle des fêtes qui deviendra après l’indépendance la galerie Yahia, fameuse par son parquet en bois.
Dès 1972 Le Palmarium accueille les Journées Cinématographiques de Carthage.
Le Palmarium referme ses portes définitivement en 1976.
La possible démolition de l’ensemble municipal soulève une vive polémique, « Faut-il le transformer complètement ou le rénover ? »
Le débat a duré longtemps. N’est-ce pas normal pour un tel lieu de mémoire de provoquer les élans du cœur et de la passion ? Cette polémique a permis de sauvegarder le Théâtre Municipal, classé depuis Monument historique.
Aujourd’hui sur ces lieux s’élèvent un centre commercial appelé « Palmarium ».
(Lina Hayoun)La vie et les diverses transformations du Palmarium épousent étroitement l’histoire de Tunis. Le Palmarium commence par être un jardin d’hiver …..

Recherche stage direction d’hôtel internationnal

Etant donné que les anciens de Carnot sont présents dans le monde entier et dans tous le métiers j’imagine, je lance sur votre site ma recherche d’un stage de directeur manager dans l’hôtellerie internationale, de mai 2006 à octobre 2006. J’ai 9 ans d’expérience dans la direction et le management de site avec hébergement.
Je prépare également un master 2 (bac + 5) en hôtellerie internationale.

Andriamifidy Ramariavelo (LC 1976/1ère)
a.ramariavelo@wanadoo.fr

1976-1977, classe de 1ère ou Terminale



J’ai retrouvé une photo où l’on peut voir Hatem Bourial au deuxième rang à gauche. La fille en bas à gauche est je crois Noura Sghaier. Je ne me rappelle plus les noms, dommage!!
Si vous vous reconnaissez mettez un nom sur les autres personnes.
Wafa JouiniDans la cour du lycée avec Hatem Bourial, journaliste-écrivain, Noura Sghaier,…
Photo de Wafa Jouini