A LA DECOUVERTE L’ART CONTEMPORAIN !

A travers 30 panneaux dédiés chacun à un des principaux mouvements des arts plastiques du 20ème siècle, des diaporamas et des œuvres exposées, Max Dana, Président de l’Œil Neuf, association pour la promotion des artistes contemporains, nous propose une initiation à l’Histoire de l’Art Moderne et Contemporain : historique, chefs de file, illustrations, questions-réponses, diaporamas, visite commentée de l’exposition « Le Top 9 de l’œil Neuf ».

Centre Culturel Christiane Peugeot
62, av. de la Grande Armée Paris 17°, Métro : Porte Maillot

Participation : 15€

Les places étant limitées, n’hésitez pas à vous inscrire rapidement, en accompagnant votre courrier du chèque de votre participation à l’ordre de Carnot-Tunis MDA – 23, rue Vernet, 75008 Paris

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Tél./.Portable……….……………………………..… . Email………….……………………………………..

Participe dimanche 10 janvier à 15H à
« Une approche de l’Art Moderne et des principaux mouvements des arts plastiques du 20ème siècle »
15 € X ………………= ……………. €

Chèque à envoyer à Carnot-Tunis MDA – 23, rue Vernet, 75008 Paris
Carnot-Tunis MDA 23, rue Vernet 75008 Paris
tél : 06 20 88 40 52 – fax : 01 49 10 09 82
lyceecarnottunis@gmail.com www.carnottunis.com
Tout ce que vous avez voulu savoir sur l’Art Moderne sans jamais oser le demander, grâce à un passionné d’Art Contemporain Max DANA et à son association l’œil Neuf.
Dimanche 10 janvier à 15 H, Centre Culturel Christiane Peugeot , 62, av. de la Grande Armée Paris 17eme.

Anastasia Chirinsky, un personnage-monde

Bizerte aura été sa « Dernière Escale », titre de son livre publié en 2000. Anastasia Manstein-Chirinsky, dont le destin s’est rapidement confondu avec celui de la communauté russe exilée en Tunisie, est décédée, lundi, dans le port de Bizerte.
Quatre-vingt neuf années plus tôt – presque jour pour jour -, cette fillette de 8 ans fuit la guerre civile en Russie, amorcée par la révolution bolchévique d’octobre 1917, et débarque dans le port tunisien à bord des restes de l’escadre impériale russe. Elle passe ses premières années d’exil au bord d’un torpilleur puis d’un cuirassé amarré dans la baie de Bizerte.
Anastasia Chirinsky passera toute sa vie dans cette ville côtière. Après y avoir fait ses études, elle devient enseignante en mathématiques. Bertrand Delanoë, l’actuel maire de Paris, qui a grandi à Bizerte, compte parmi ses anciens élèves. « ‘Babou’, comme nous l’appelions tous – était un être exceptionnel, un génie de la vie. Son parcours fut un roman, celui de cette jeune immigrée russe, imprégnée d’histoire, de culture, de curiosité et de créativité, mais surtout d’amour », confie-t-il à France24.com.
« Un lieu de pélerinage »
Anastasia Chirinsky – « Babou » comme nous l’appelions tous – était un être exceptionnel, un « génie de la vie ». Son parcours fut un roman, celui de cette jeune immigrée russe, imprégnée d’histoire, de culture, de curiosité et de créativité, mais surtout d’amour. Cet amour qu’elle a donné aux autres, à sa famille, à ses amis, à ses élèves dont je fus, comme elle l’a donné à la Tunisie, où elle avait choisi de vivre. Belle, généreuse, souvent inattendue, je pense aujourd’hui à elle avec une immense émotion. Bertrand Delanoë, ancien élève d’Anastasia Chirinsky
De son histoire, elle écrira un livre, en 2000, dédié à la mémoire des réfugiés russes sur le sol tunisien : « La Dernière Escale. Le siècle d’une exilée russe à Bizerte ». Ecrit en français et publié en Tunisie (Sud Editions), il a été récompensé du prix littéraire russe Alexandre-Nevsky.
Mais sa plus grande consécration reste sans nul doute l’obtention du passeport russe en 1997. Elle avait refusé la nationalité française, à l’époque où Paris naturalisait les minorités communautaires de la Tunisie, et n’avait pas non plus sollicité la nationalité tunisienne de peur que cela ne l’empêche un jour d’avoir la nationalité russe.
Conservatrice bénévole du cimetière des marins militaires russes à Bizerte, elle est devenue la mémoire vivante d’un épisode de l’Histoire longtemps méconnu. « Il a été occulté aussi bien par le régime de l’ex-Union soviétique que par un certain monolithisme de la Tunisie post-coloniale », précise Mahmoud Ben Mahmoud, auteur du documentaire « Anastasia de Bizerte » (1996).
Et de poursuivre : « Elle portait à la fois la mémoire de la Russie pré-communiste et l’histoire de la Tunisie sur presque tout le XXe siècle ». Elle est d’ailleurs devenue incontournable pour les touristes russes qui, après le musée de Carthage et la médina de Tunis, avaient pour habitude de faire escale chez elle. « C’était devenu un lieu de pèlerinage, ajoute le réalisateur. Les passagers des bateaux russes qui accostaient à Bizerte allaient la voir. Elle recevait aussi du courrier de toute la diaspora russe disséminée de par le monde ». Aujourd’hui, Anastasia Chirinsky est devenue indissociable de Bizerte. Depuis quelques années, une petite place porte son nom.
Anastasia Chirinsky est décédée lundi 21 décembre à Bizerte, ville portuaire de la Tunisie. Elle était le dernier témoin de l’évacuation des navires de l’escadre de la mer Noire de Crimée vers la ville pendant la guerre civile de 1918-1922. Par Maha Ben Abdeladhim (journaliste France 24, lauréate du prix Carnot-Tunis 1997, ancienne élève du lycée Bourguiba, ex Carnot).

VILLA JASMIN : LE COMPTE RENDU DE DANIELLE TAPIA-TOULEMONT


*Villa Jasmin » doit bientôt repasser sur Arte, surveillez les programmes, cela vaut la peine si vous ne l’avez pas vu.

LA SEANCE AFFICHE COMPLET (daté du mardi 12 janvier)

Le 16 janvier à 15H45, CARNOT-TUNIS et l’ESPACE BEAUJON organisent une journée exceptionnelle : la projection-débat du film de Férid Boughedir (Halfaouine, Un été à la Goulette …) tiré du roman de Serge Moati « Villa Jasmin », suivi d’un débat « Questions-réponss » avec Ferid BOUGHEDIR.
Inscription obligatoire.

15h50, projection de « Villa Jasmin »: Serge Boccara, revient dans son pays, sur les traces familiales … (avec Clement Sibony, Elsa Mollien, Arnaud Giovaninetti, Judith Davis, Manuel Blanc, adapté du roman de Serge Moati, Fayard 2003)

– 17h15, questions-réponses au réalisateur Férid Boughedir « Halfaouine, Un été à la Goulette », arrivé spécialement de Tunis : « Je voulais être à la fois historiquement juste et poétiquement juste. Je voulais qu’il y ait de l’amour dans tout le film »

– 18h, buffet: « Haloua » : pour échanger, boire un verre et échanger encore

Le lieu : Espace BEAUJON, 208, rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris 8ème,
métro Saint-Philippe du Roule

La date : samedi 16 janvier à 15h45

Places limitées
Entrée libre, réservée exclusivement aux adhérents à jour de la cotisation 2010
Inscription obligatoire par courrier ou mail

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sera présent(e) à la projection du film –débat Villa Jasmin , suivie du buffet « Haloua »

samedi 16 janvier à 15h45

Places limitées,
Entrée libre, réservée exclusivement aux adhérents à jour de la cotisation 2010,
(formulaire en pièce jointe)
Carnot-Tunis MDA 23, rue Vernet 75008 Paris
tél : 06 20 88 40 52 – fax : 01 49 10 09 82
lyceecarnottunis@gmail.com www.carnottunis.com

Ferid Boughedir est venu tout spécialement de Tunis pour nous présenter « Villa Jasmin ». Un film tendre et nostalgique, qui raconte le retour, à Tunis, sur les traces de son enfance de Serge Moati adulte (Boccara dans le film).
La discussion avec le réalisateur, qui a suivi la projection, a été passionnante et amicale, celui-ci ayant retrouvé dans le public des amis du Lycée Carnot. Elle a permis d’évoquer le Tunis de notre enfance et de rappeler l’amitié et les liens forts qui existaient entre la communauté juive et la communauté musulmane.
A la question de la réaction du public tunisien à ce film Ferid nous a répondu qu’il avait été bien reçu à Tunis, notamment par les jeunes tunisiens qui n’ont pas connu cette période.
Après la projection, les spectateurs se sont retrouvés pour échanger leurs impressions autour d’un buffet de gâteaux tunisiens particulièrement délicieux.
Un après midi particulièrement réussi !

CONFERENCE DE LA SHJT

le lundi 31 janvier 2011 à 18 h 30
au Centre Communautaire de Paris
119 Rue La Fayette – PARIS 10ème

à la conférence de Monsieur Philippe LANDAU
-Conservateur des archives du Consistoire de PARIS- :

« Victor SEBAG : un juif de Tunisie sur le front d’Orient (1915-1918) »
A travers 500 lettres échangées avec sa femme, Victor SEBAG, juif tunisien naturalisé français, témoigne du patriotisme, de la grandeur et des horreurs de la guerre, tout en étant conscient que l’antisémitisme n’est pas absent dans les régiments de zouaves.
Unique en son genre, cette correspondance apporte des éclaircissements sur les évènements de la 1ère guerre mondiale et sur la vie d’un couple séparé pendant plus de trois années.

Victor SEBAG est le père de l’historien Paul SEBAG qui fut à l’initiative des recherches sur l’histoire des juifs de Tunisie.

Philippe LANDAU
est l’auteur de :
– Les juifs de France et la grande guerre. Un patriotisme républicain (1914-1941)
– L’opinion juive et l’affaire Dreyfus
et a collaboré à :
– Identités israéliennes : modernité et mémoire d’une nation
– Inscriptions juives dans l’espace.

Conférence autour du livre de Philippe LANDAU «  »Victor SEBAG : un juif de Tunisie sur le front d’Orient (1915-1918) » le 31 janvier, organisé par la Société d’Histoire des Juifs de Tunisie.

Visite guidée de MONTMARTRE

Pour Montmartre, nous partons du métro Abbesses :
le mur des amours, l’église St Jean des Briques,
la place et le bateau lavoir, la rue d’orchampt,
la maison de Dalida, le Moulin de la galette,
la place Marcel Aymé, l’avenue Junot,
l’allée des brouillards et le Château,
les vignes et le Lapin Agile, la rue Cortot, aboutissons
à église St Pierre, traversons sans nous arrêter la place du Tertre et redescendons par la rue Norvins et la maison du Dr Blanche.

Inscription obligatoire par mail: lyceecarnottunis@gmail.com
Visite guidée 11 E par personne à payer sur place.
tel 06 20 88 40 52Notre première balade à l’Ile Saint-Louis ayant rencontré un vif succès (plus de 22 participants), notre guide-conférencière nous propose d’aller à Montmartre, à la rencontre d’un autre quartier historique de Paris.

EXPO RENOIR AU GRAND PALAIS

Visite-conférence : 13 Euros à envoyer à CARNOT UNIS MDA/ 23, rue Vernet 75008 Paris , l’entrée est à régler sur place. Réservez au plus vite : par téléphone 06 20 88 40 52/ par mail alct@free.fr / par courrier en joignant votre règlement

Bulletin d’inscription
Nom.……………………………Prénom……..…………………………….
Portable……………………………………
e-mail/fax ……………………………………………………………….
Nombre de personnes…….x 13€ (visite guidée)
L’entrée du musée est à régler sur place

L’évènement à l’affiche culturelle de la rentrée, l’Expo RENOIR, nous est proposée le 16 novembre à 17H 45 par une conférencière officielle en Histoire de l’Art, diplômée de l’Ecole du Louvre.
Ne ratez pas cet événement, réservez-vite, ainsi que les deux autres visites culturelles que nous vous proposons pour les prochaines semaines.

FRANCE-CULTURE CONSACRE UNE EMISSION AUX ELITES COLONIALES

Avec Pierre Singaravélou, maître de conférences en histoire contemporaine à l’École normale supérieure de la rue d’Ulm, auteur notamment de «Au sommet de l’Empire : les élites européennes dans les colonies (XVIe-XXe siècle) (éd. Peter Lang)et David Lambert, historien, chercheur associé (Université de Paris I Panthéon-Sorbonne) et chercheur associé au laboratoire FRAMESPA (UMR5136) de l’université de Toulouse II, auteur notamment de « Notables des colonies – Une élite de circonstance en Tunisie et au Maroc (1881-1939)» (éd. Presses Universitaires de Rennes).Cette émission « LA FABRIQUE DE L’HISTOIRE », du vendredi 25 septembre, peut être écouté sur le site de FRANCE-CULTURE : vous aurez ainsi la possibilité d’entendre David LAMBERT parler de son travail de recherche sur les notables de TUNISIE (« Notables des colonies – Une élite de circonstance en Tunisie et au Maroc (1881-1939)» (éd. Presses Universitaires de Rennes).

LE MENSONGE DE VARSOVIE

Des photos d’époque en noir et blanc permettent aux lecteurs de retrouver « l’ambiance de la fin des années 80 » à Varsovie, paysage neigeux, 1er mai, vie active, visite du Pape Jean Paul II… Les photos sont de Bernard Antoine DISS, des diapositives couleurs scannées par notre graphiste et « passées » en noir et blanc pour l’impression.

Un court extrait :

Prudemment il me demanda : «Où avez-vous appris le polonais ? Aviez-vous des contacts, avant votre affectation, dans ce pays ?» – «Vous savez, finit-il par me glisser en souriant, je ne parle pas aussi bien le français que vous (c’était tout à fait inexact), mais je voudrais vous proposer un marché : vous nous aidez et nous vous aiderons.» J’étais abasourdi et ne sus comment réagir. Avais-je bien saisi le sens de cette transaction ? «Vous êtes à Varsovie depuis quelques mois ; vous vous êtes sûrement fait quelques amis ; les Polonaises sont jolies, n’est-ce pas ?» C’était un piège adroitement construit : on s’y sentait pris dès qu’on l’eut flairé.

ISBN N°978-2-917790-04-5
72 pages – Format 14×20 cm
Texte et photos de Bernard Antoine DISSLa maison d’édition Baie des anges publie avec ce roman une tranche de guerre froide ! C’est l’histoire d’un jeune professeur Bernard Antoine DISS expatrié à Varsovie pour enseigner à l’Université, pendant les années 1976 à 1980 en pleine guerre froide et bien avant la chute du Mur de Berlin. Bernard nous raconte dans ce récit largement autobiographique la vie à l’époque du communisme, une époque révolue mais que les plus anciens d’entre nous garde en mémoire…
Bernard DISS a été professeur de lettres au lycée Carnot dans les années 70.

TIFFANY AU MUSEE DU LUXEMBOURG, le 14 DECEMBRE

Visite-conférence 13 € /par pers, le lundi 14 décembre à 17H50. Entrée à régler sur place

Chèque de 13 E par personne à l’ordre de Carnot-TunisMDA/ 23, rue Vernet 75008 Paris

Louis Comfort Tiffany (1848-1933), fils de Charles Lewis Tiffany, fondateur de la célèbre maison Tiffany ; Co. à New York, figure incontestablement parmi les plus talentueux créateurs de tous les temps. Son regard de peintre en matière de couleur et de composition, sa passion pour l’exotisme et ses innovations dans le domaine du verre font de lui, dès 1900, un chef de file du design américain dont la réputation s’étend jusque dans les grandes capitales européennes : il rivalise avec les grands verriers européens de la fin du XIXe siècle.

L’ornementation somptueuse, le travail soigné, les effets spectaculaires et originaux de lumière et couleur qui caractérisent sa production verrière (vases en verre soufflé, vitraux, lampes et objets) le placent au cœur de nombreux mouvements artistiques de son époque, de l’Arts ; Crafts et le Mouvement esthétique américain jusqu’à l’Art Nouveau et le Symbolisme. L’exposition rassemblera environ 160 œuvres (vitraux, vases, luminaires, objets, bijoux et mosaïques, dessins, aquarelles et photos d’époque) qui révèleront la remarquable contribution de ce créateur, tant à l’industrie du verre qu’à l’ensemble des arts décoratifs.

Les visiteurs auront l’occasion d’admirer un ensemble exceptionnel de vitraux de Tiffany qui a été démonté, étudié, restauré et transporté à l’occasion de cette exposition. La présentation de ces vitraux à Paris relève d’une prouesse technique et logistique.

Divisée en six thèmes, l’exposition abordera les débuts de la carrière de Tiffany: ses séjours en Europe (en particulier à Paris où il étudie la peinture dans l’atelier de Léon-Charles Bailly) puis son intérêt croissant pour l’art du verre; son travail de décorateur d’intérieur pour d’influents clients américains; ses relations avec le marchand d’art parisien Siegfried Bing qui contribue à la diffusion et au succès de ses créations en Europe; les vitraux, un aspect essentiel et pourtant méconnu de sa production; les vases en verre Favrile, aux formes organiques et aux remarquables contrastes de couleurs; enfin l’expansion de l’entreprise reposant, entre autres, sur le commerce des lampes et d’objets décoratifs qui contribue à asseoir son immense popularité.

Le Musée du Luxembourg a choisi d’organiser à Paris cette exposition conçue par le Musée des beaux-arts de Montréal. Après Paris, l’exposition sera accueillie à Montréal au musée des beaux arts du 11 février au 2 mai 2010 et à Richmond (EU) au Virginia Museum of Fine Arts du 29 mai au 15 août 2010.

Le commissariat général de l’exposition est assuré par Rosalind Pepall, conservatrice principale des arts décoratifs (anciens et modernes) du Musée des beaux-arts de Montréal, en collaboration avec deux commissaires invités : Alice Cooney Frelinghuysen, conservatrice (Anthony W. et Lulu C. Wang) des arts décoratifs américains, Metropolitan Museum of Art, New York, et Martin Eidelberg, spécialiste de l’œuvre de Tiffany et professeur émérite d’histoire de l’art, Rutgers University, New Jersey, sous la direction de Nathalie Bondil, directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux- arts de Montréal.

La scénographie a été confiée au créateur Hubert Le Gall qui a déjà signé celle de René Lalique, bijoux d’exception, 1890-1912 pour le Musée du Luxembourg (2007).Parce que c’est la première exposition à Paris de M. Tiffany, chef de file du design américain et l’un des plus grands verriers de la fin du XIXème siècle, Carnot-Tunis vous propose d’y aller, guidée, par une conférencière en Histoire de l’Art, diplômée de l’Ecole du Louvre. Cette exposition a lieu au Musée du Luxembourg. Lundi 14 décembre à 17H50 à réserver très vite !

Visite guidée de l’Ile Saint-Louis

Une ile au charme magique créée de toute pièce par la réunion de deux iles à pâturages sur un grand dessein du roi de France. Entièrement urbanisée au 17è siècle, l’ile se couvre en quelques années d’hôtels particuliers qui rivalisent de richesse et de grandeur, préservés pour la plupart. Notre promenade nous fera découvrir les lieux d’histoire, les salons littéraires, l’église si originale. Nous évoquerons les personnalités qui habitent l’ile de nos jours et les excès et autres mystères de celles qui l’ont habitée par le passé.

Inscription obligatoire par mail à alct@free.fr

Samedi 12 septembre à 10H15, visite guidée de l’Ile Saint-Louis.

Fabrizio PAMPALONE AU PETIT JOURNAL SAINT MICHEL

Ils interpréteront le répertoire du jazz New Orléans, emmené par Jean-Pierre DESBOIS à la clarinette, Jean LABARRE à la trompette et Philippe GIBRAT invité au trombone, accompagnés par une rythmique traditionnelle : Jean-François au piano, Patrick au banjo, Pascal à la batterie et Fabrizio à la contrebasse.

71 bd Saint Michel
75005 Paris
Tel : 01 43 26 28 59Le 5 juin à 21h15 au PETIT JOURNAL SAINT MICHEL, Allons applaudir Fabrizio PAMPALONE (fidèle adhérent) qui joue de la contrebasse avec Le DIXIE STOMPERS JAZZ BAND.