THAILANDE


Circuit guidé de 12jours/9nuits avec balnéaire à Cha Am, dans d’excellents hôtels 4 et 5* (chambres supérieures ou de luxe, du dimanche 31 janvier au jeudi 11 février 2010.

Aucun des sites essentiels n’est oublié dans ce circuit : Bangkok et ses marchés, temples et palais, la rivière Kwaï au cœur de la jungle, célébrée par le film de David Lean « Le pont de la rivière Kwaï », Sukhotai première capitale du royaume Siam, Chiang Rai et le triangle d’or, Chiang Mai « La Rose du Nord » avec ses maisons en teck et sa végétation exubérante.
Nous terminerons par trois jours de farniente dans la station balnéaire de Cha Am ; avec nos ingrédients si précieux : convivialité, amitié, plaisir de se reconnaître, de se retrouver…

– vols réguliers et directs sur la THAI (une des meilleures compagnies au monde pour la sécurité et le confort)et un vol intérieur (Chiang Mai/Bangkok)
* les taxes d’aéroport à Roissy et à la sortie de Thaïlande, l’accueil et l’assistance à l’arrivée et au départ du groupe *transports et transferts en car climatisé / guide francophone pendant tout le circuit/ droit d’entrée dans les musées et sites
* Visites et excursions mentionnées dans le programme, y compris : spectacle de danses Thai, massage, promenade en bateau, promenade à dos d’éléphant…
* hôtels en chambre double et petit-déjeuner, 4* et 5*, normes européennes : programme sur demande*pension complète (sauf 2 repas – boissons non incluses)

La garantie totale des fonds déposés, assurée par l’A.P.S. (Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme, 15 avenue Carnot, 75017 PARIS)
Assurance assistance-rapatriement et frais médicaux

Contactez nous au 06 20 88 40 52Après l’inoubliable circuit Vietnam-Cambodge en 2007, nous préparons le meilleur circuit pour découvrir et apprécier le Nord de la Thaïlande, région luxuriante et fascinante, parcourue par le Mékong et aux confins du Laos et de la Birmanie.

TIFFANY AU MUSEE DU LUXEMBOURG, le 14 DECEMBRE

Visite-conférence 13 € /par pers, le lundi 14 décembre à 17H50. Entrée à régler sur place

Chèque de 13 E par personne à l’ordre de Carnot-TunisMDA/ 23, rue Vernet 75008 Paris

Louis Comfort Tiffany (1848-1933), fils de Charles Lewis Tiffany, fondateur de la célèbre maison Tiffany ; Co. à New York, figure incontestablement parmi les plus talentueux créateurs de tous les temps. Son regard de peintre en matière de couleur et de composition, sa passion pour l’exotisme et ses innovations dans le domaine du verre font de lui, dès 1900, un chef de file du design américain dont la réputation s’étend jusque dans les grandes capitales européennes : il rivalise avec les grands verriers européens de la fin du XIXe siècle.

L’ornementation somptueuse, le travail soigné, les effets spectaculaires et originaux de lumière et couleur qui caractérisent sa production verrière (vases en verre soufflé, vitraux, lampes et objets) le placent au cœur de nombreux mouvements artistiques de son époque, de l’Arts ; Crafts et le Mouvement esthétique américain jusqu’à l’Art Nouveau et le Symbolisme. L’exposition rassemblera environ 160 œuvres (vitraux, vases, luminaires, objets, bijoux et mosaïques, dessins, aquarelles et photos d’époque) qui révèleront la remarquable contribution de ce créateur, tant à l’industrie du verre qu’à l’ensemble des arts décoratifs.

Les visiteurs auront l’occasion d’admirer un ensemble exceptionnel de vitraux de Tiffany qui a été démonté, étudié, restauré et transporté à l’occasion de cette exposition. La présentation de ces vitraux à Paris relève d’une prouesse technique et logistique.

Divisée en six thèmes, l’exposition abordera les débuts de la carrière de Tiffany: ses séjours en Europe (en particulier à Paris où il étudie la peinture dans l’atelier de Léon-Charles Bailly) puis son intérêt croissant pour l’art du verre; son travail de décorateur d’intérieur pour d’influents clients américains; ses relations avec le marchand d’art parisien Siegfried Bing qui contribue à la diffusion et au succès de ses créations en Europe; les vitraux, un aspect essentiel et pourtant méconnu de sa production; les vases en verre Favrile, aux formes organiques et aux remarquables contrastes de couleurs; enfin l’expansion de l’entreprise reposant, entre autres, sur le commerce des lampes et d’objets décoratifs qui contribue à asseoir son immense popularité.

Le Musée du Luxembourg a choisi d’organiser à Paris cette exposition conçue par le Musée des beaux-arts de Montréal. Après Paris, l’exposition sera accueillie à Montréal au musée des beaux arts du 11 février au 2 mai 2010 et à Richmond (EU) au Virginia Museum of Fine Arts du 29 mai au 15 août 2010.

Le commissariat général de l’exposition est assuré par Rosalind Pepall, conservatrice principale des arts décoratifs (anciens et modernes) du Musée des beaux-arts de Montréal, en collaboration avec deux commissaires invités : Alice Cooney Frelinghuysen, conservatrice (Anthony W. et Lulu C. Wang) des arts décoratifs américains, Metropolitan Museum of Art, New York, et Martin Eidelberg, spécialiste de l’œuvre de Tiffany et professeur émérite d’histoire de l’art, Rutgers University, New Jersey, sous la direction de Nathalie Bondil, directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux- arts de Montréal.

La scénographie a été confiée au créateur Hubert Le Gall qui a déjà signé celle de René Lalique, bijoux d’exception, 1890-1912 pour le Musée du Luxembourg (2007).Parce que c’est la première exposition à Paris de M. Tiffany, chef de file du design américain et l’un des plus grands verriers de la fin du XIXème siècle, Carnot-Tunis vous propose d’y aller, guidée, par une conférencière en Histoire de l’Art, diplômée de l’Ecole du Louvre. Cette exposition a lieu au Musée du Luxembourg. Lundi 14 décembre à 17H50 à réserver très vite !

DANS « JEUNE AFRIQUE » DU 28/4/08: TRES COTES, TRES COUTEUX LES LYCEES FR DE TUNIS

Tous ont encore en mémoire des fous rires et moments d’insouciance passés dans les cours ensoleillées des lycées français de Tunisie. « Ce sont mes plus belles années. Le lycée Carnot de Tunis était un lieu d’enseignement privilégié. Juifs, chrétiens ou musulmans, nous étions tous comme des frères », se souvient Hamed Ben CHEDLY, aujourd’hui médecin à La Marsa, dans la douce banlieue nord de Tunis. « C’était le temps des boums du samedi soir, des soirées guitare, de la préparation des examens, de la solidarité et de la fraternité entre différentes communautés », ajoute une ancienne élève du même établissement.
Philippe Séguin, l’actuel président de la Cour des comptes française et ancien élève du lycée Carnot, explique cette ambiance particulière : « Il y avait des Français, des Siciliens, des Juifs, des Arabes, des Maltais, etc. Aujourd’hui, cette relation entre gens issus de ces lycées va au-delà de tous les clivages politiques, religieux et nationaux. Nous partageons des souvenirs et des références qui sont, en fin de compte, des valeurs communes. »
Certains de ces adolescents qui ont grandi ensemble sont devenus aujourd’hui d’éminentes personnalités. Habib Bourguiba, ancien président de la République tunisienne, Ferid Boughedir, cinéaste tunisien, Georges Wolinski, dessinateur, ou encore Michel Boujenah, comédien et humoriste, ont tous usé leurs fonds de culotte sur les bancs du lycée Carnot. Pendant un siècle (1882-1983), cet établissement a accueilli des milliers d’élèves issus du pourtour méditerranéen avant d’être intégré au système éducatif tunisien, et de devenir le lycée pilote Bourguiba.

LA MISSION FRANCAISE PLEBISICITEE
Actuellement, il existe en Tunisie deux lycées français : le lycée Pierre-Mendès-France dans le quartier tunisois de Mutuelleville, et le lycée Gustave-Flaubert, à La Marsa, plus connu sous le nom de « lycée Cailloux ». Tous deux dépendent de l’Agence pour l’enseignement du français à l’étranger (AEFE) et sont intégrés au réseau des 430 lycées français disséminés à travers le monde. Tous ces établissements ont en commun les mêmes méthodes et des programmes similaires, élaborés par le ministère de l’Éducation nationale français.
À l’origine, ces lycées ont été mis en place pour scolariser les enfants des expatriés, mais aussi, et surtout, pour former dans les pays colonisés ou sous protectorat, une intelligentsia locale favorable à la France. « Les lycées français à l’étranger constituent un atout majeur pour la francophonie et pour l’influence de nos idées, de nos valeurs et de notre culture dans le monde, affirme-t-on au ministère des Affaires étrangères français. Les étudiants étrangers issus de ces établissements seront susceptibles de devenir des interlocuteurs précieux dans le cadre des responsabilités qu’ils assureront plus tard. C’est particulièrement vrai pour la Tunisie, pays avec lequel nous avons toujours des relations très étroites. » En clair, ces lycées sont de véritables pépinières pour futures élites francophones.
Aujourd’hui, leurs élèves sont pour une grande majorité des nationaux francophones, auxquels s’ajoutent un certain nombre de binationaux et quelques étrangers. La mission première de ces lycées est d’assurer la continuité du service public français à l’étranger afin que tout élève français puisse poursuivre une scolarité classique en Tunisie. Mais, compte tenu de la proportion des nationaux (plus de 60 %) dans les effectifs, ces établissements jouent de plus en plus un rôle d’interface entre la France et le pays d’accueil (apprentissage obligatoire de la langue, diplômes binationaux, activités culturelles, etc.). Leur objectif est donc de prodiguer un enseignement de qualité et en parfaite adéquation avec les programmes pédagogiques en vigueur en France.
Un système qui attire de plus en plus les Tunisiens. Pour l’année scolaire en cours, plus de 3 000 élèves sont inscrits dans un établissement français de la sixième à la terminale, dont 1 630 au lycée Pierre-Mendès-France et 1 500 élèves au lycée Gustave-Flaubert. « J’ai fait le choix d’inscrire mes trois filles au lycée Gustave-Flaubert et j’en suis ravie, explique Latifa, 56 ans, comptable. Elles ont une bonne culture générale et font preuve d’imagination et d’esprit d’initiative. Le melting-pot de ces lycées français est une vraie chance pour elles. C’est un passeport pour la modernité. »
Les parents, souvent issus eux-mêmes d’un établissement français, voient dans cette scolarité un accès plus facile à des études supérieures à l’étranger, et plus particulièrement en France. « J’ai fait mes classes au lycée Carnot de Tunis et j’ai préféré inscrire mon garçon à la Mission française afin qu’il puisse plus tard poursuivre ses études universitaires en France. Soyons honnêtes : avec le durcissement des conditions d’obtention d’un visa pour l’Hexagone, un élève issu d’un lycée français a plus de chances d’intégrer une faculté française qu’un élève du système local tunisien », confie Rafik, industriel dans la région de Sfax. Ainsi, en 2007, 65 % des élèves ayant obtenu leur baccalauréat au lycée Gustave-Flaubert ont choisi de poursuivre leurs études universitaires dans un établissement français et seuls 18 % ont opté pour un établissement local. Autre avantage non négligeable des lycées français, le renforcement récent de l’enseignement de l’arabe. « Le bon niveau de la langue arabe m’a encouragée à y scolariser mon fils. Aujourd’hui, il est aussi à l’aise en français qu’en arabe. C’est un atout de taille », explique Karima, femme au foyer.

GRATUITE POUR LES FRANCAIS
Mais tout le monde n’a pas si facilement accès aux lycées français, loin s’en faut. Avec des frais de scolarité annuels de 1 400 DT (777 euros) pour le premier cycle et de 1 800 DT (1 000 euros) pour le deuxième cycle, nombreux sont les parents qui n’ont pas les moyens d’inscrire leurs enfants à la Mission française. Seule une élite fortunée peut offrir ce type de cursus à ses enfants. D’ailleurs, les élèves sont issus, pour l’essentiel, de la bourgeoisie commerçante et industrielle, ou de familles dont les parents exercent des responsabilités politiques ou une profession libérale. « Il est impossible pour nous de payer des frais de scolarité aussi élevés, confie le couple Trad, tous deux cadres moyens dans une banque de Tunis. Nos salaires réunis ne suffisent pas pour inscrire nos deux enfants dans un lycée français. Alors nous avons opté pour un lycée local et, finalement, tout se passe très bien. Même si, au fond, nous regrettons la Mission française. » Il est normal de payer des frais de scolarité, « mais à ce niveau-là, seuls les privilégiés y ont accès », peste un autre parent d’élève. Ces droits d’inscription, souvent prohibitifs et inaccessibles pour une grande partie de la population, financent le budget de fonctionnement des établissements ainsi qu’une partie des salaires des professeurs recrutés sur place.
Jusqu’à une date récente, les nationaux et les élèves français payaient les mêmes montants en frais de scolarité. La situation ne devrait plus durer puisque la gratuité pour les expatriés était l’une des promesses de Nicolas Sarkozy lorsqu’il était candidat à l’élection présidentielle. Le 28 février 2007, ce dernier déclarait, devant un parterre d’expatriés réunis au Palais des congrès de la capitale espagnole, vouloir que « les Français de Madrid, de New York, de Tokyo, de Shanghai, de New Delhi ou de Tunis ne se sentent pas abandonnés mais, qu’au contraire, ils aient le sentiment que la France ne les oublie pas ». Un message qu’il a d’ailleurs répété un mois plus tard. La baisse des coûts de scolarité était, en effet, une vieille revendication des Français de l’étranger. Cette réforme s’appliquera dans le monde entier. Premières à en bénéficier : les classes de terminale, dont les frais de scolarité devraient être remboursés dès cette année aux parents d’élèves français. Les classes de première et de seconde profiteront de mesures équivalentes lors des prochaines rentrées. Mais, pendant ce temps, les nationaux continueront de payer le prix fort. Se former à l’école française restera donc encore longtemps un rêve que seuls les enfants de l’élite pourront concrétiser.
L’aura des lycées français reste forte. Même si, compte tenu des frais de scolarité élevés, les deux établissements existants en Tunisie apparaissent de plus en plus sélectifs.
Célèbres ou anonymes, les anciens de ce qu’on appelle communément la « Mission française » en parlent souvent la larme à l’œil.

LE SENTIER DES AUBEPINES DE CLAUDE RIZZO


Rosine, jeune veuve, vit avec sa fille Antonia dans un village du Massif du Mercantour. Les épines amères de l’existence ne l’ont pas épargnée. Elle croit enfin rencontrer, en Giovani Cini, un berger piémontais, le deuxième grand amour de sa vie. Elle l’épouse et renaît ainsi au bonheur. La belle saison arrive. Giovanni prend les chemins de l’estive.

Le ciel se couvre à nouveau. Rosine se rend aux funérailles de son père. Elle apprend que son époux est revenu en son absence. Il a passé la nuit au village avant de disparaître sans l’attendre. Dans la bergerie, Rosine découvre Antonia en pleurs. Le propos entre l’adolescente et sa mère tourne à l’affrontement. La jeune quitte la maison et prend ainsi les chemins de l’exil.

Une mort mystérieuse, une naissance « inattendue » viennent ajouter leur touche à l’histoire.

Sentier des aubépines, le destin n’a pas encore déployé tous ses fastes. Tandis que grandit le petit Adrien, offrant à Rosine quelques années de bonheur et de complicité, les fantômes du passé ressurgissent et parcourent la vallée. Les uns porteurs de promesses, les autres chargés de ressentiments…

Après le succès de son roman « Le Maltais de Bab el-Khadra » (ed. Michel Lafon 2004) et celui de « La Secte »(Ed. Lucien Souny 2007), Claude RIZZO développe ici un thème qui lui est cher et dans lequel il excelle, celui de la saga familiale. Des familles en proie à des secrets que l’on pensait enfouis à jamais.

L’aventure de la langue arabe en Occident avec Henriette WALTER

et Bassam Baraké, (Professeur de linguistique française et arabe à l’Université de Beyrouth), raconte l’histoire de la langue arabe et casse les clichés. Il montre les apports réciproques très riches entre l’arabe et le français.

Inscrivez-vous vite et préparez vos questions pour ce passionnant et sûrement passionné débat, mardi 4 decembre à 20h au restaurant de l’UNESCO (nouveau restaurant) au 7ème étage du 7, place de Fontenoy à Paris.

Pour cela, il faut confirmer impérativement votre réservation en nous envoyant votre inscription par le coupon ci-dessous, accompagné du chèque de règlement.
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Coupon à retourner à l’ ALCT , l’ Association des anciens du Lycée Carnot de Tunis

Nom………………..……………………………….. Prénom…………….……………………………………..
Tél./.Portable……….……………………………..… Email………….………………………………………….

participe au dîner du mardi 4 décembre à 20h au restaurant de l’UNESCO 7, place de Fontenoy 75007 Paris
qui comprend apéritif, entrée, plat , dessert, boissons : vin et eau

Adhérent 2007 : 47 € x ……… = …………€
Non-adhérent : 52 € x ……… = …………€

(chèque à l’ordre de l’ALCT , 18 Champs Elysées 75008 Paris)
NB : envoi de l’annuaire 2007 (220 pages, 2000 coordonnées) à réception de l’adhésionMardi 4 décembre à 20 h, dîner-débat avec Henriette Walter, native de Sfax: Vous savez que l’arabe a donné le mot « jasmin » et que le français la « tulipe » à l’arabe. Il existe des milliers d’autres mots échangés. Un livre savant et amusant « Arabesques, l’aventure de la langue arabe en Occident » (éditions Robert Laffont) écrit par Henriette Walter professeur émérite de linguistique et membre du Conseil supérieur de la langue français

Visite de l’expo Chaim SOUTINE à LA PINACOTHEQUE DE PARIS

Visite guidée par Suzette SIDOUN, conférencière diplômée de l’Ecole du Louvre :
L’ensemble provient des plus importantes collections privées et de musées français et internationaux.

samedi 1er décembre 2007 à 15h45 : CHAIM SOUTINE à LA PINACOTHEQUE DE PARIS
28 Place de la Madeleine , PARIS 8ème
Figure centrale du monde de l’art, le moins connu et le plus mystérieux des artistes de sa génération, Chaïm Soutine fait l’objet d’une grande exposition à Paris pour la première fois depuis 34 ans. Cette exposition montre un artiste génial, scrutateur des âmes et de l’esprit, au travers une centaine de tableaux, dont la majorité sont des œuvres entièrement redécouvertes et exposées pour la première fois. L’ensemble provient des plus importantes collections privées et de musées internationaux français, japonais, suisses et américains.
Visite-conférence : 13 Euros à envoyer à ALCT 18 champs Elysées 75008 Paris , l’entrée est à régler sur place. Réservez au plus vite : par téléphone 06 20 88 40 52/ par mail alct@free.fr / par courrier en joignant votre règlement
Cette exposition montre un artiste génial, scrutateur des âmes et de l’esprit, au travers une centaine de tableaux, dont la majorité sont des œuvres entièrement redécouvertes et exposées pour la première fois.

Le goût de Tunis , textes choisis et présentés par Philippe DI FALCO

Dans une collection du « petit mercure » dédiée au goût des villes (et des voyages), Philippe Di Folco nous offre un goût de Tunis, où il a sélectionné un choix original et varié de textes consacrés à la métropole méditerranéenne : vingt-sept auteurs, des écrivains du XIXe siècle (Chateaubriand, Dumas, Maupassant, Flaubert) aux plus contemporains ; voix européennes, mais aussi arabes, juives, italo-maltaises… « Dès 1830, Tunis captive les peintres et les auteurs romantiques. Entre 1910 et 1940, cet emballement explose littérairement. On assiste notamment à l’émergence d’une littérature judéo-arabe et italo-maltaise typiquement tunisoise. Après le départ de bon nombre de francophones, vers 1960, les auteurs arabes prennent le relais… ». Les textes permettent d’aborder des aspects très divers de la vie tunisoise, histoire, architecture, cuisine… et se complètent de notes synthétiques très éclairantes. Dans son introduction, Philippe Di Folco évoque une ville composite et modernisée « qui se cherche encore » et qu’il nous invite, assurément, à (re)découvrir sans retard.
Le goût de Tunis , textes choisis et présentés par Philippe Di Folco, Mercure de France, 2007.

éditions « Petit Mercure »

3 JOURS POUR L’AMITIE JUDEO-MUSULMANE

PROGRAMME DES MANIFESTATIONS

Jeudi 28 Juin 2007
10 h – Quartier des Moulins à Nice
Arrivée du Bus de l’Amitié (Parking des Pins)

12h30 à 15h 00– Réception au Conseil Général, 1er etage
Offert par Mr Christian ESTROSI (Buffet)

15h30 à 16h30 – Réception à la Synagogue, rue Deloye, Nice
Offert par le Consistoire

17h00 – Visite salle de boxe, salle LEYRIT, quartier St Roch
19h30 – Dîner du groupe à Cannes

20h30 – MJC Picaud à Cannes,
Pièce de théâtre « l’épicier du coin » de Serge Misraï

Vendredi 29 Juin 2007
9h30 – 10h15 Dépôt de gerbes au Monument aux Morts de Cannes
notamment par 3 enfants de confessions différentes.
Allocutions du Député-Maire, de Monsieur Michel Serfaty et du Dr Bouloudhnine

10h45- 11h15 – Remise du terrain pour la future salle du culte musulman de
Cannes La Bocca. Plantation de l’arbre de la paix

11h30 – Visite officielle de la Mosquée de Cannes
13h00 – Visite du marché Fortville

15 h30 – Visite du quartier de l’Ariane de Nice, salle Django REINHARDT
organisée par Madame D. Estrosi

20h00 – Visite de l’église Notre Dame en compagnie de l’Evêque de Nice

Samedi 30 Juin 2007
Préparation de la journée de la Fraternité

Dimanche 1° Juillet 2007 : « Journée de la Fraternité »
Parc de Vaugrenier, Villeneuve Loubet
Offert par le Conseil Général
12h30 – Pique-nique champêtre Républicain ouvert à tous (1000 pers)

13h00 – Discours des officiels
14h00 – Tournoi de foot des Jeunes « tous frères »
18h00 – Remise des coupes (offertes par le Conseil Général)
Marouane BOULOUDHNINE, ancien élève de Carnot (1968.1980/1ère) et chirurgien, vient de créer et préside L’AJM 06 (Amitié Judéo-musulmane des Alpes Maritimes) association laïque et apolitique qui a pour but de renforcer les liens d’amitié, de respect entre les Juifs et les Musulmans pour mieux vivre ensemble dans la République Française.
Pour réaliser cet objectif, l’AJM 06 propose diverses manifestations du 28 au 1er juillet : à Cannes, réception à la synagogue (jeudi 28), à la mosquée et à l’église (vendredi 29) et un grand pique-nique offert par le Conseil Général au Parc de Vaugrenier de Villeneuve-Loubet, dimanche 1er juillet. Pour tout savoir, lire la suite …………..

A TUNIS, LE DINER DE GALA DES ANCIENS DE CARNOT ET DE MUTU


Au Menu

• Salade de pâtes
• Grillades de poissons
• Sauce aux câpres et aux citrons
• Méli mélo de charlottes
• Thé ou café
• Eaux minérales à volonté – 1/2 vin

Participation : 50 Dt

Tickets en vente

* A Tunis :
• Dans les librairies « Claire fontaine »
• aux téléphones suivants : pour les réservations :
96358852 / 23331624 ou 71773052 22315960 24 306 815

Durant la soirée un diaporama des promotions, des bâtiments et des activités des anciens élèves sera projeté sur grand écran

A La Closerie de la Soukra, le 7/7/2007
Programme “tenue blanche recommandée”
– Soirée dansante
– Animations diverses : expositions de photos + Tombola etc
– Hommage à nos enseignants et équipes d’encadrement
– Remise de prix aux lauréats des lycées Bourguiba (ex-Carnot) et Pierre
Mendès-France (mutu)
– Dîner convivial

TOUTES COUPABLES !!

SYNOPSIS
Notre couple et ce qu’il se passe sous notre couette, ça ne regarde personne. Et puis, le jour où on tombe enceinte, on tombe aussi dans le domaine public. Il y a un « témoin » sur le test de grossesse, ça veut tout dire ; désormais, notre vie concerne tout le monde. On est épiées, pelotées, jugées… comme si on ne se mettait pas assez la pression toute seule
Pour ce petit, on vise la perfection, alors à nous d’être parfaite : finies les soirées caïpirina entre copines, les centaines de clopes et les nuits blanches ; on mange équilibré et on fait du sport, bref, on fait tout bien… Enfin, on essaie.

Malgré tous nos efforts, on culpabilise pendant 9 mois. Et puis, à peine sorti de nous, il pleure. Quoiqu’on fasse, on est toutes coupables !

D’après le livre de Martine Tartour. Adaptation: Camille Nahum et Elise Mc Leod.

38, boulevard de Bonne Nouvelle, 75010 ParisLa petite fille – Camille NAHUM – d’un ancien de Carnot – André NAHUM – met en scène « Toutes coupables » au théâtre du Petit Gymnase (du 3 au 30 Juin 2007)

Le manteau de la Vierge d’Emile BRAMI (FAYARD, 2007)


Mais il sombrera avec nous, car, au contraire du yiddish, il ne donna jamais un livre imprimé. Alors je me suis résolue à broyer les mots de mon enfance jusqu’à les réduire en poudre pour fabriquer du français, comme les peintres du Quattrocento pilaient le lapis-lazuli, préparant ainsi le coûteux bleu céleste dont, par tradition, ils coloriaient le manteau de la Vierge.»

Une langue disparaît, un peuple aussi. Une femme écrit le roman de sa mère, incarnation malgré elle d’une communauté chassée de sa terre jusque sur les pentes de Belleville. Des Juifs de Tunisie, que reste-t-il ? Sinon quelques souvenirs déformés par le prisme du folklore méditerranéen et du malentendu historique – quand il aurait fallu comprendre leur mélancolie native et leur sentiment de déshérence. Dans ce livre de l’exil, d’une nostalgie universelle, Émile Brami les réhabilite, les sauve peut-être.

« J’aurais voulu raconter ton histoire dans notre dialecte, le judéotunisien, ce baragouin sans grammaire où se mêlent l’arabe, l’hébreu, l’espagnol, l’italien et le grec.

Voahangy RAMARIAVELO expose à la Maison des femmes de MONTREUIL

Voahangy nous convie à un voyage intérieur. Au delà de l’accessoire de mode ou du statut sociale que représentent les chaussures de femmes, il faut lire et découvrir ces portraits, agrémentés de timbres collés à même la toile et parsemés de petites phrases.

Exposition du 7 au 13 Juillet à la Maison des Femmes de Montreuil du lundi au vendredi de 14h à 18h et les samedis 9 juin et le 7 Juillet
Maison des Femmes de Montreuil – 24/28 rue de l’Eglise – 93100 Montreuil01 48 58 46 59 hypatie93@wanadoo.fr – http://www.maisondesfemmesdemontreuil.org

Voahangy Ramariavelo nous invite au vernissage le jeudi 7 Juin 2007, à partir de 18h
(Pour rappel, je vis aux USA et j’ai été élève au Lycée Carnot de 1970 a 1973.
Ce serait très sympa de revoir des anciens de Tunis! Tres cordialement, Voahangy Ramariavelo-Grenier )