EXPOSITION VAN DICK : POUR LA PREMIERE FOIS A PARIS


Le musée Jacquemart-André retrace les grandes étapes de la carrière d’Antoon Van Dyck à travers un genre où il excella : l’art du portrait. En rassemblant les toiles les plus marquantes des grands musées européens et américains, cette exposition met à l’honneur un peintre auquel les musées français n’ont jamais consacré d’exposition à caractère monographique.

Elève de Rubens et inspiré par l’école italienne, il met au point son propre style à mi-chemin entre l’héritage de son maître et le modèle du Titien. Brillant portraitiste de Cour, il peint les membres de la famille royale d’Angleterre et tout particulièrement le roi Charles Ier. Cette expressivité mélancolique et élégante séduit l’aristocratie anglaise et nous offre une superbe galerie des grandes figures de l’Europe de son temps et plus particulièrement de l’Angleterre des Stuart.Lundi 8 décembre à 17h30, visite guidée – par notre excellente conférencière – de l’expo VAN DICK au Musée JACQUEMART-ANDRE.
Inscription par mail ou par courrier : 13 € par personne pour la visite guidée.

CONFIDENCES DE TUNISIE

Cet ouvrage est l’aboutissement d’une collaboration entre plusieurs amoureux du patrimoine tunisien : trois archéologues, une historienne, un journaliste et un photographe auxquels sont venus se greffer un artisan designer, des galeristes, des collectionneurs et de nombreux amis de la Tunisie.

-Azedine Beschaouch : direction éditoriale.
-Myriam Erraïs Borges : coordinatrice éditoriale et artistique.
-Jamila Binous, Myriam Erraïs Borges,
Zeïneb Ben Abdallah, Tahar Ayachi, Azedine Beschaouch : coauteurs.
-Salah Jabeur: photographe.
-Mohamed Messaoudi : artisan designer.
-Iadh Bahi (collectionneur), Moncef M’Sakni et Lilia Ben Salah (galeristes), Nacer Khmir (cinéaste)…

Confidences de Tunisie est accompagné d’un « livret des associations » regroupant douze associations tunisiennes œuvrant pour la sauvegarde du patrimoine.

La collection Confidences du Monde est le fruit d’une alchimie : entre le choix de destinations touristiques à fort potentiel culturel et celui d’auteurs de renommée passionnés et soucieux de faire connaître le meilleur de leur pays. »Confidences de Tunisie : vingt promenades culturelles et touristiques incontournables  » invite à visiter la Tuisie autrement et propose des découvertes et des «coups de cœur» uniques …
(Collection Beaux Livres, Le Cherche-Midi, Paris 2008)

RENDEZ-VOUS A L’HOTEL DE VILLE DE PARIS


(de G à D : Michel HAYOUN président de l’ALCT, M. GUICHANE, prof physique-chimie, Marie-Germaine fille de M. COLAS prof de maths, M. SFEZ, prof de physique-chimie).

En effet, l’Association des Anciens du Lycée Carnot de Tunis a fêté ses 15 ans dans les prestigieux salons « Les Caryatides » à l’Hôtel de Ville de Paris, somptueusement ornés de fresques et toiles de maîtres, riches en sculptures féminines dorées à l’or florentin….
(Virginie et Philippe TAPIA ont présenté la soirée)
Pour cet anniversaire, les anciens de Carnot ont signé, une fois de plus, un pacte d’amitié entre les 3 communautés juive, musulmane et chrétienne, réunies en ce lieu chargé d’histoire ; histoire de la France qui nous a offert courtoisement et généreusement son bras pour ne pas chuter….
Sacrée Paris ! vous avez eu beau nous faire grandir durant ces années, nous sommes restés inlassablement des enfants de Tunis : Tunis khadra, Tunis Jasmin, Tunis T.G.M., Tunis chère à notre cœur, comme l’a chanté avec poésie, la noble dame de la chanson orientale, Esther Dalal, à l’image des lieux
somptueuse dans sa robe de taffetas rouge orangée , brillant de mille feux, digne des plus grands concerts du monde arabe.
Mais le spectacle n’était pas que sur la scène gigantesque où quelques personnalités ont fait de petits discours, dont le représentant de Monsieur le Maire de Paris et Baraoui Marzouk (ci-dessous) comédienne dans le film « La Graine et le Mulet »,film récompensé aux Césars 2008.
Monsieur Albert Memmi, grand écrivain et son Altesse, le Prince Fayçal Bey, petit fils du Bey de Tunis, nous ont honoré de leur présence…
(de gauche à droite Mona Ben Ghars, Albert Memmi, Effy Tselikas, Fayçal Bey, Virginie Tapia) sans oublier les fidèles qui ont fait le voyage de la Martinique, de Tunis, de Francfort, les anciens de Mutu pour nous rendre visite ….
Silence, on tourne ! quelques 300 figurants autour des protagonistes de la soirée, Lina Hayoun et Philippe Tapia, sont attablés autour d’une table ronde, richement dressée aux couleurs et saveurs de Tunis ; tous animés du même espoir, même fébrilité de retrouver un peu de leur jeunesse entre l’histoire d’une vie, le présent, le passé recomposé et le futur ; les dames rivalisent d’élégance et demeurent, pour la plupart d’entre elles, des créatures divines malgré le temps qui passe, les hommes, plus que jamais séduisants avec leurs tempes poivre et sel…..
Un chuchotement va crescendo de table en table : on ne voit plus rien de la scène au « désespoir » de ceux qui s’y tiennent … On rit bruyamment, on fait sonner le cristal où se balance l’élixir d’eau de vie, la boukha, tel un bateau ivre ; on échange de bons mots, des espoirs d’un avenir meilleur…. Je trace furtivement un cercle de mes yeux myopes pour essayer de revoir les miens : il me semble reconnaître quelques parents d’amis d’enfance ! Suis-je en plein délire ou sont-ce les misérables gouttes d’alcool offertes par mes chers Bernard et Michel, qui me montent à la tête ? Je suis décalée dans le temps… ce sont bien mes copains qui sont devenus les clones de leurs parents, comme moi, probablement ! Je suis un peu troublée mais heureuse de retrouver le passé après cette recherche du temps perdu.
On échange des souvenirs et des impressions sur le raout du jour, entre les timides qui resteront sur leur faim, perdus dans ce maelström d’acteurs, les intrépides, les extravertis et les plus sages…..
Malgré les apparences, ce n’est pas une soirée mondaine superficielle : c’est un rassemblement de nostalgiques qui affichent une délectation évidente à retrouver leur bande après tant d’années de sevrage et de privation ; des nostalgiques à un des moments-clés de la vie : l’intronisation à la Race des Seignors ».
Le décor change brutalement : nous ne sommes plus ces adultes « révérencieux » dans une effervescence culturelle conviviale ; sacro-sainte bonne éducation! nous ne pouvons plus tenir sur nos chaises ….
La caméra ne sait plus où donner de l’objectif et virevolte, ivre et indécise entre les « tourneurs de table » et le crépitement des flashs . les retrouvailles se font enfin émouvantes ou joyeuses sous le regard indifférent d’un couple de danseurs, évoluant sur la scène, inlassablement, avec en fond sonore, un tango argentin ; sommes-nous devenus nos parents, nous les twisteurs, les jerkeurs de l’époque des Yéyés ? c’est un anachronisme !
Gros plans sur les embrassades et les accolades tandis que le mérou continue de refroidir dans l’assiette….
Le décor est définitivement reconstitué : nous sommes à Kherreidine, sur l’avenue de Paris , sur les bancs des Lycées de Tunis , dans la cour des « grands », entre clichés affects et « mièvrerie » sentimentale…. Ce melting-pot n’a plus rien à voir avec les tenues étriquées des figurants, encore étrangers, lors de la première partie du film… Chacun « surjoue » et accompagne ses répliques de mimiques bien de chez nous… on danse, on chante, on sourit et on flotte : on est dans un bain de jouvence ….

L’heure tardive nous rattrape trop vite et c’est le grand moment des solennités.
Face à l’écran géant de notre nuit presque blanche, on se fait une toile : les souvenirs défilent sous nos yeux, mouillés par l’émotion ; un parterre d’inconditionnels de Carnot entourent les professeurs d’antan qui ont eu la gentillesse de se déplacer, Monsieur Guichané, Monsieur Sfez, Monsieur Attal, Monsieur Neveu ainsi que Marie- Germaine, fille de Monsieur Colas et Frédéric, fils des Castel.
Un énorme gâteau d’anniversaire pour les 15 ans d’existence de l’Association, soucieuse de la pérennité de leur « affectio societatis », fidèle à la mémoire d’une enfance heureuse en Tunisie, vient accompagner le générique de fin avec regret ; il est minuit et les au revoir s’éternisent …..
Et si on se donnait rendez-vous dans 5 ans !

NADINE TIBI

A mon amie d’enfance, Annie et son mari, ancien de Carnot, qui attendent avec impatience que leur « printemps » renaisse à la vie…..
Bonsoir Paris, lumineuse malgré ses pavés mouillés et ses embouteillages ! Mille mercis à Monsieur le Maire,Bertrand Delanoë, notre illustre compatriote. En homme généreux qu’il est, il nous a permis de rassembler une partie du Tout-Tunis des années 60 à 80 en une nuit.

VISITE DE L’EXPO VLAMINCK AU MUSEE DU LUXEMBOURG


Dans cette période de grandes remises en question et de bouleversements esthétiques, l’œuvre de Vlaminck est à considérer à la fois à travers sa relation à la génération post-impressionniste qui l’a précédé (Van Gogh, Gauguin, les Nabis, Cézanne, Signac)et sa formidable audace qui le conduisit vers une gestualité expressive, une outrance de la couleur et une déformation sélective n’ayant craint aucun débordement : « Je haussais tous les tons, je transposais dans une orchestration de couleurs pures tous les sentiments qui m’étaient perceptibles. J’étais un barbare tendre et plein de violence » (Tournant dangereux, 1929).
Visite guidée par une conférencière diplômée de l’Ecole du Louvre

*rendez-vous,le 9 juin à 17h15 à l’accueil « groupes » du musée du LUXEMBOURG, 19 rue de Vaugirard, 75006 Paris

Visite-conférence : 13 Euros à envoyer à ALCT 18 champs Elysées 75008 Paris , l’entrée est à régler sur place. Réservez au plus vite : par téléphone 06 20 88 40 52/ par mail alct@free.fr / par courrier en joignant votre règlementCette exposition rassemble des œuvres de 1900 à 1915, c’est-à-dire depuis les premières peintures de jeunesse de VLAMINCK (les réalisations antérieures, peintes dès l’âge de 17 ans, ont disparu).Lundi 9 juin à 17h15.

AU SUD DU SUD

Ce centre met à la disposition des visiteurs : —une spacieuse grotte avec sa khazna servant comme salle de restaurant troglodytique.

— une cuisine de type familial bien équipée pour l’art culinaire traditionnel (koucha, brochettes, gargoulette, malthouth et aich jebali….)

— un musée ethnographique de l’art traditionnel berbère de Chenini

— quatre terrasses à ciel ouvert en face de a citadelle pour vue panoramique.

— un café maure à deux demi niveaux couvert de bois de palmier donnant sur le sentier de la mosquée

— une buvette taillée dans la roche de la montagne avec comptoir et cheminée rustiques .
ce complexe « musée – restaurant – café maure – buvette » aura la particularité de joindre l’utile à l’agréable, le culinaire au culturel dans une forme d’exposition des différentes spécialités gastronomiques du Sahara dans ses formes les plus authentiques et le tout sera présenté aux visiteurs dans un cadre de sobriété et de raffinement digne des milles et une nuits. Le café maure et le restaurant mettrons en valeur le savoir faire ancestral en matière de gastronomie et de boissons traditionnelles à base de plantes aromatique et médicinales.

Nédra BOULILA BELHEDI,sa directrice, nous annonce l’ouverture du centre culturel et culinaire «KENZA » qui s’incruste sur le flanc de la montagne plein au milieu du village historique troglodytique de CHENINI dans le gouvernorat de TATAOUINE.

VESTIGES ET VERTIGES (EXPO COURBET VUE LE 19 JANV. 08)


Après plusieurs tours de « manège » autour du GRAND PALAIS, je réussis enfin à trouver une place de parking, offerte par un jeune homme à l’orchidée blanche ; charmant préambule à cette ballade dans l’univers du peintre GUSTAVE COURBET (Ornans 1819– La tour de Peilz, Suisse 1877) dont une rue de Tunis portait son nom, entre autres .
Le groupe de Carnot se presse sur la file « privilège » au regard de la longue attente subie par les autres visiteurs .
De salle en salle, en passant par le grand escalier à la rampe dorée plutôt douteuse et au plancher peu sûr, parait-il, (le GRAND PALAIS serait-il un chef-d’œuvre en péril ? ), nous découvrons une œuvre immense , tant par le talent de l’artiste et la multitude des thèmes abordés, que par les dimensions démesurées de certains tableaux « manifestes » . Folie des grandeurs aux deux sens sans doute…..
Je ne maîtrise pas l’Histoire de l’Art ! d’ailleurs, l’éloquente Suzette Sidoun est là pour ça, avec justesse et poésie sur un ton de confidence….
Elle doit parler bas et en profite pour nous livrer quelques détails grivois sur GUSTAVE COURBET : connaître le cursus et la personnalité d’un artiste pour mieux comprendre son œuvre ..
De prime abord, je ressens comme un malaise face aux premiers tableaux ténébreux du peintre malgré l’excellence des coups de pinceaux ; ceux-ci sont d’une telle précision qu’ils nous projettent dans la réalité ; les autoportraits ont beau être parfaits, ils ne m’inspirent pas…ou plutôt si : ils expriment une froideur , une espèce de folie et de désespoir ; plusieurs personnages mis en scène comme « l’Enterrement » laissent entrevoir chez l’artiste , une densité de pensées en duel, à la recherche de la vérité ..
Cet aspect du peintre me dérange un peu mais « encadrée » par les carnotistes, je ne peux me dérober. Je suis prise au piège de Courbet qui finit enfin par mettre en lumière des réserves d’énergie et cette autre face me plait bien : il peint la nature , l’amitié et l’amour fidèles malgré l’infidélité…. Enfin ! Je me sens mieux dans l’exaltation de la beauté vivante.
Homme à femmes multiples qui honore leur beauté en « dépeignant » son amour pour elles ; il fige sur la toile leur nudité laiteuse aux formes plus ou moins généreuses, synonymes de beauté en cette époque ; extase des visages dans l’étreinte ou rêveries ; sexe féminin dévoilé : provocation scandaleuse peut-être ! rien de choquant aujourd’hui dans ces corps nus mais l’expression de la vie, tout simplement comme « l’Origine du Monde » . Pommes rouges et vertes qu’auraient pu croquer Adam, jardin d’Eden, paysages de mer en transparence où l’on aimerait jeter l’ancre, écume blanchâtre déferlante….. il me semble entendre le bruit des vagues se brisant contre la falaise d’Etretat et le souffle du vent violent …
Je suis en pleine communion…..
GUSTAVE COURBET était un jouisseur de la vie, un révolutionnaire dans son art, un contemplateur malgré quelques déchirements intimes reflétés dans les eaux troubles de sa peinture.
Mégalo , certes, mais monstre de talent que cet artiste !
Il aura refusé la Légion d’Honneur en 1870 et sa rébellion le mènera en prison ; condamné à en payer les frais et privé de ses biens et de son œuvre, GUSTAVE COURBET , au nom prédestiné, finira par « courber » le dos dans un exil en suisse pour y mourir…….
Moi qui ne suis qu’une modeste artiste-peintre, je voudrais me cacher au fond de l’atelier avec mes toiles et mes pinceaux et n’en ressortir qu’avec la certitude d’avoir atteint la perfection …
je me console en me disant que l’art est source d’enseignement perpétuel et que le chemin pour y parvenir infiniment long ; aviez-vous connu les premières toiles de Monsieur COURBET ?
La visite aura duré plus de deux heures , nous laissant l’esprit envahi d’images fortes et admirables pour certains, ou insipides pour d’autres ; une chose est certaine, personne n’en sort indifférent .
L’ histoire de toute une vie d’artiste, celle de GUSTAVE COURBET, dément, dans ce cas précis, l’expression bien connue….
Après plusieurs tours de « manège » autour du GRAND PALAIS, je réussis enfin à trouver une place de parking, offerte par un jeune homme à l’orchidée blanche ; charmant préambule à cette ballade dans l’univers du peintre GUSTAVE COURBET (Ornans 1819– La tour de Peilz, Suisse 1877) dont une rue de Tunis portait son nom, entre autres.==>
(texte Nadine TIBI)

LES ANTIQUITES EGYPTIENNES DU LOUVRE

Le département des Antiquités égyptiennes présente des vestiges des civilisations qui se sont succédées sur les bords du Nil, depuis la fin de la Préhistoire (vers 4 000 ans avant notre ère) jusqu’à l’époque chrétienne (à partir du IVe siècle apr. J.-C).

Visite-conférence : 13 Euros à envoyer à ALCT 18 champs Elysées 75008 Paris , l’entrée est à régler sur place. Réservez au plus vite : par téléphone 06 20 88 40 52/ par mail alct@free.fr / par courrier en joignant votre règlement

mercredi 6 février à 17h45, visite-conférence du Département des Antiquités Egyptiennes du Louvre

Visite de l’expo Chaim SOUTINE à LA PINACOTHEQUE DE PARIS

Visite guidée par Suzette SIDOUN, conférencière diplômée de l’Ecole du Louvre :
L’ensemble provient des plus importantes collections privées et de musées français et internationaux.

samedi 1er décembre 2007 à 15h45 : CHAIM SOUTINE à LA PINACOTHEQUE DE PARIS
28 Place de la Madeleine , PARIS 8ème
Figure centrale du monde de l’art, le moins connu et le plus mystérieux des artistes de sa génération, Chaïm Soutine fait l’objet d’une grande exposition à Paris pour la première fois depuis 34 ans. Cette exposition montre un artiste génial, scrutateur des âmes et de l’esprit, au travers une centaine de tableaux, dont la majorité sont des œuvres entièrement redécouvertes et exposées pour la première fois. L’ensemble provient des plus importantes collections privées et de musées internationaux français, japonais, suisses et américains.
Visite-conférence : 13 Euros à envoyer à ALCT 18 champs Elysées 75008 Paris , l’entrée est à régler sur place. Réservez au plus vite : par téléphone 06 20 88 40 52/ par mail alct@free.fr / par courrier en joignant votre règlement
Cette exposition montre un artiste génial, scrutateur des âmes et de l’esprit, au travers une centaine de tableaux, dont la majorité sont des œuvres entièrement redécouvertes et exposées pour la première fois.

VISITE DU MUSEE DU QUAI BRANLY

Jeudi 4 octobre à 17h45 au Musée du quai BRANLY

Visite guidée par Suzette SIDOUN, conférencière diplômée de l’Ecole du Louvre :
On ne peut appréhender ce Musée sans apporter à son architecture toutes les précisions indispensables à la symbolique qui s’y rattache. Et étant donné la richesse et la diversité des thèmes présentés, seul le département de l’Océanie fera l’objet de notre visite.

Visite-conférence : 13 Euros (la location des casques d’écoute (pour certains musées) et l’entrée des musées avec parfois les droits de parole, ne sont pas compris).
37 quai Branly (RV près de la caisse 6) . métro : Iéna (ligne 9), Bir Hakeim (ligne 6), – bus : ligne 42 arrêt Tour Eiffel, ligne 72: arrêt Palais de Tokyo
Réservez au plus vite : par téléphone 06 20 88 40 52/ par mail alct@free.fr / par courrier en joignant votre règlement à ALCT 18 champs Elysées 75008 Paris
Jeudi 4 octobre à 17h45 au Musée du quai BRANLY
Visite guidée par Suzette SIDOUN, conférencière diplômée de l’Ecole du Louvre

3 JOURS POUR L’AMITIE JUDEO-MUSULMANE

PROGRAMME DES MANIFESTATIONS

Jeudi 28 Juin 2007
10 h – Quartier des Moulins à Nice
Arrivée du Bus de l’Amitié (Parking des Pins)

12h30 à 15h 00– Réception au Conseil Général, 1er etage
Offert par Mr Christian ESTROSI (Buffet)

15h30 à 16h30 – Réception à la Synagogue, rue Deloye, Nice
Offert par le Consistoire

17h00 – Visite salle de boxe, salle LEYRIT, quartier St Roch
19h30 – Dîner du groupe à Cannes

20h30 – MJC Picaud à Cannes,
Pièce de théâtre « l’épicier du coin » de Serge Misraï

Vendredi 29 Juin 2007
9h30 – 10h15 Dépôt de gerbes au Monument aux Morts de Cannes
notamment par 3 enfants de confessions différentes.
Allocutions du Député-Maire, de Monsieur Michel Serfaty et du Dr Bouloudhnine

10h45- 11h15 – Remise du terrain pour la future salle du culte musulman de
Cannes La Bocca. Plantation de l’arbre de la paix

11h30 – Visite officielle de la Mosquée de Cannes
13h00 – Visite du marché Fortville

15 h30 – Visite du quartier de l’Ariane de Nice, salle Django REINHARDT
organisée par Madame D. Estrosi

20h00 – Visite de l’église Notre Dame en compagnie de l’Evêque de Nice

Samedi 30 Juin 2007
Préparation de la journée de la Fraternité

Dimanche 1° Juillet 2007 : « Journée de la Fraternité »
Parc de Vaugrenier, Villeneuve Loubet
Offert par le Conseil Général
12h30 – Pique-nique champêtre Républicain ouvert à tous (1000 pers)

13h00 – Discours des officiels
14h00 – Tournoi de foot des Jeunes « tous frères »
18h00 – Remise des coupes (offertes par le Conseil Général)
Marouane BOULOUDHNINE, ancien élève de Carnot (1968.1980/1ère) et chirurgien, vient de créer et préside L’AJM 06 (Amitié Judéo-musulmane des Alpes Maritimes) association laïque et apolitique qui a pour but de renforcer les liens d’amitié, de respect entre les Juifs et les Musulmans pour mieux vivre ensemble dans la République Française.
Pour réaliser cet objectif, l’AJM 06 propose diverses manifestations du 28 au 1er juillet : à Cannes, réception à la synagogue (jeudi 28), à la mosquée et à l’église (vendredi 29) et un grand pique-nique offert par le Conseil Général au Parc de Vaugrenier de Villeneuve-Loubet, dimanche 1er juillet. Pour tout savoir, lire la suite …………..