L’Association des Tunisiens des Grandes Ecoles en France

le 17 Juin 2006 à Paris : journée ouvrant des perspectives exceptionnelles de communication, de rencontres et de recrutement avec les réseaux des compétences tunisiennes en France et plus largement les réseaux Français et Franco-Maghrébins des Grandes Ecoles en France. Journée suivie de la soirée Gala de la NUIT de l’ATUGE
le 27 Juillet 2006 à Hammamet, avec comme thème :
Les compétences : levier stratégique de la valeur ajoutée

www.atuge.org
L’ATUGE organise un forum de deux jours (en France et en Tunisie) pour un évènement doublement générateur d’opportunités pour tous :

1954.1955, classe de 1ère M2


De haut en bas et de gauche à droite:
1er rang: Alexandre DALMAS, Marc DRAÏ, Roger MOATTY, Sauveur MANZELLA, Henri SAMAMA, SFEZ, Jean-Louis AMIEL, G COHEN, Max GOZLAN, BOINARD.
2e rang: TAHAR, SEBAG, MASCHIKA, VALENT, Roland SROUSSI, E. COHEN, Yves FRADET, André TOUBIANA, GRANGER, François TERRANOVA.
3e rang: Jean-Paul TAILLEFER, Henri BORG, MEIMOUN, CALAFATO, Edmond UZZAN, Georges TIMSIT, FRADKOFF, BRAMI, TAÏEB, Guy CASSAR, Attillio DIELE.
4e rang: Edmond PONS, André TEBEKA, SAADOUN, MEMMI, M. LEMAIRE professeur d’histoire et géographie, Armand MAAREK, Claude CHEMLA, Mario CALVINO, Bernard SUIED.

Photo et liste d’élèves d’Alexandre Dalmas
avec M. Lemaire prof d’histoire et Géo

Moi aussi je me souviens de Hatem BOURIAL


Conçu comme un jeu où plusieurs récits s’emboîtent, « Moi aussi je me souviens » est prolongé par un post-scriptum dans lequel l’auteur écrit : «Je ne sais ce qui, en fin de compte, advint de mon narrateur.
L’auteur a été sélectionné par le jury des prix littéraires du Comar d’or. Signalons en outre qu’il sera l’invité du Diwan Dar El Jeld le 28 avril prochain et que l’ouvrage participera en mai à plusieurs événéments littéraires au Maroc et en France.

Les éditions La Nef viennent de publier un roman de Hatem Bourial (ancien de Carnot)intitulé « Moi aussi je me souviens ». Adaptant un jeu littéraire initié par l’écrivain français Georges Perec, cet ouvrage se présente comme un texte laconique et fragmentaire qui déroule par bribes la mémoire de son narrateur, voire de ses narrateurs.

Un auteur à l’honneur


Le jury a été séduit par l’histoire enracinée dans le vécu de la Tunisie profonde et par les recherches et trouvailles linguistiques audacieuses.
Créé en 1997, le prix Comar d’Or est devenu le prix littéraire de référence en Tunisie. .
éditions elyzad
Diffusion France : PollenAli Bécheur (ancien de Carnot) a reçu samedi 22 avril le prix Comar d’Or 2006 pour son roman « Le Paradis des Femmes ».Il récompense le meilleur roman de langue française publié entre le 1er avril et le 31 mars de l’année écoulée.

Cinq sous et un miracle de Yaël KÖNIG


un seul homme, le rabbin Simon Baruch, peut l’aider à concrétiser ses rêves, d’une audace alors à peine concevable. Erudit, intransigeant, Simon est apprécié pour sa sagesse par les communautés juive, musulmane et chrétienne qui cohabitent paisiblement. Or, ce gardien des traditions, pourtant tourné vers la modernité, semble doté d’étranges pouvoirs. Qu’arriverait-il si l’amour que Sarah nourrit en secret pour lui était connu de tous ? Odeurs, saveurs, ruelles encombrées, patios bruissants de confidences… : toute une époque revit sous la plume de Yaël König. Cette histoire, inspirée de faits réels (l’auteur a rencontré la famille et les derniers amis du rabbin), est aussi celle d’un bout de France en Afrique du Nord qui croyait encore à l’insouciance.Aux éditions l’Archipel, Paris 2006.
Jeune fille ambitieuse, Sarah refuse de se plier à la coutume selon laquelle, en ces années 1900, une femme n’est censée sortir de sa maison que trois fois dans sa vie : à sa naissance, à son mariage et à sa mort ! A Béja,

1978.1979 , classe de terminale B3



Au milieu à gauche : Elyes Lagha/Moncef Touati/Hichem Khemakhem/Ferdaous

Djemali/Samira Chakroun/Hassen Kilani

Brigitte Zagdoun/Patricia Racah/Myriam Beltaief/Souad Chabouni/Insaf

Boussen/Saloua Ben Khalifa/Hajer Berrabeh/Fatma Cherif/Denizar Berrachid.

Absente de la photo : Mahassen NouiraPhoto et liste envoyées par Tarek Briki -Surveillant M. Kilani –
Elèves, haut G: Mounir Sriti/Frederic Marchal/Abderahim Ayari/Faouzi Ben Hassine/Adel Ghariani/Tarek Briki

1975.1976, classe de seconde AB2


Professeur M. MALICE
En haut à gauche : Alya Ben Ayed , Karim Bescharnia , Mohamed Lahsoumi ,Abderhamim Ayari , Abitbol , Mr ? , Adel Ghariani , Hichem Khemakhem , Faouzi Ben Hassine , Tarek Briki .

Milieu : Mr Malice , Hajer Berrabeh , Melle ? , Melle ? , Mr ? , Mr ? , Mr ? , Mr ? , Saloua Ben Khalifa , Ferdaous Djemali , Samira Chakroun .

En bas à gauche : Brigitte Zagdoun , Melle ? , Melle ? Melle ? , Fatma Cherif , Mahassen Nouira , Mr ? , Denizar Berrachid

Photo et liste envoyées par Tarek BRIKI : ci-dessous les noms de mes camarades de classe. Que les points d’interrogations m’excusent et que celles et ceux qui ont plus de mémoire que moi complètent. Merci.

1956.1957, Remise de « la bourse Zellidja  » à Jean-Pierre Allali


de capitaux nécessaires à l’attribution de voyages et d’études.

Chaque année, l’association Zellidja accorde des bourses de voyage à des jeunes de 16 à 20 ans. Ces jeunes boursiers partent seuls, pendant plus d’un mois, réaliser un projet d’étude portant sur le sujet et le pays de leur choix. A leur retour, les voyageurs remettent un journal de route, un livre de compte, ainsi que leur rapport d’étude. Ces bourses existent depuis 1939 et peuvent s’élever jusqu’à 1000 euros. Il faut avoir entre 16 et 20 ans pour postuler. « Réaliser un tel voyage, c’est faire preuve de tempérament, d’audace, et d’intelligence », commentent les fondateurs de Zellidja.
Pendant une trentaine d’années, jusqu’en 1975, cette bourse a été attribuée qu’à des élèves du secondaire.

www.zellidja.comJean-Pierre Allali, lauréat du concours Zellidja, reçoit « La bourse Zellidja » des mains de M. Pic proviseur.
Qu’est-ce que « La bourse Zellidja » ?Jean Walter, architecte et créateur de mines (…), a fait donation à l’Académie Française