Hommage à Georges Wolinski


Georges Wolinski a été élève au lycée Carnot, il nous a raconté ses années tunisoises. Voici son témoignage :

Je suis né à Tunis. Mon père, Sygfrid Wolinski, sorte de Juif errant venu de Pologne, est tombé amoureux de la petite Juive italo-tunisienne, Lola Bembaron, ma mère. Ils se sont mariés en 1928 dans la Tunisie coloniale. Ce qui fait que je suis né français comme ma sœur. Je n’ai pas eu le temps de connaître mon père. Il a été assassiné en 1936 par l’un de ses employés. Il avait l’air d’être un type formidable.

A la suite de ce drame, ma mère est partie en France. Ainsi, j’ai passé toute mon enfance auprès de mes grands-parents maternels. Mon grand-père était très connu à Tunis. Il dirigeait la pâtisserie Chez les nègres, renommée pour ses chocolats et ses gâteaux, qui se trouvait juste en face du lycée Carnot. C’est mon père qui avait décoré le magasin avec des têtes de nègres en fer forgé. Je garde la nostalgie du vendredi soir où toute la famille venait manger le couscous. C’était une fête à chaque fois. Dans ces soirées familiales très gaies, tous mes oncles et tantes qui avaient remplacé mon père et ma mère, étaient adorables avec moi. Je me sentais bien dans ces liens familiaux très serrés.

Et puis, il y avait tous les plaisirs de la vie tunisoise. Nous allions à la plage avec le TGM* (le train aux wagons en bois qui reliait Tunis à ses plages). L’été, nous passions deux-trois mois au bord de la mer. La famille louait une maison vide à La Marsa ou à Khereddine. C’était une équipée, dans la haraba, une grande charrette conduite par des chevaux, nous entassions tous les meubles : les armoires, les lits…Un autre grand moment, c’est quand à neuf ans, ma grand-mère m’a amené au hammam avec ma sœur et ma cousine plus âgées. J’étais chez les femmes. C’était la première fois que je voyais des femmes nues, avec tous leurs poils. Comme des gamins, on a joué, on s’est envoyé de l’eau. J’ai gardé le souvenir de cette ambiance, de cette lumière, de ces corps de femmes luisants, avec cette beauté des corps à l’ancienne – des hanches et des seins. Pas des maigrichonnes comme maintenant, qui ont aussi des seins et des fesses, mais qui n’ont pas de hanches. C’étaient de vraies nanas. J’ai gardé un souvenir ébloui de tout cela.

Mes autres grands plaisirs étaient de lire et de dessiner. Ma sœur et moi, nous étions fous de littérature. Nous avions la chance d’avoir à la maison une très grande bibliothèque avec toute la littérature française et anglo-saxonne. A douze-treize ans, j’avais lu tous les Victor Hugo, Jules Verne, Edgar Poe, Jack London. De plus, avec mes amis, nous échangions des livres. Nous avions fait un fond commun où les livres des autres étaient aussi les nôtres. Parfois, nous les reprenions pour les relire. Je lisais énormément. A treize ans, j’ai même lu des livres interdits comme L’amant de Lady Chatterley ; je n’ai rien compris, enfin il y a des choses que j’ai comprises, d’autres que je n’ai pas comprises. Quand je gardais les enfants chez mon oncle Henri et ma tante Dolly, j’allais fouiner dans leur bibliothèque parce qu’il y avait une édition très belle des Mille et une nuits avec des descriptions extraordinaires. J’aimais bien parce que c’était très érotique. Pour les fêtes, les oncles et les tantes nous donnaient de l’argent que nous dépensions en livres chez les bouquinistes. Je me souviens particulièrement de celui qui était dans la Hara, le quartier juif.

Depuis que je suis tout petit, j’ai toujours aimé dessiner. Je dois tenir cela de mon père qui dessinait lui aussi. Dans la pâtisserie de mon grand-père, je griffonnais sur le papier d’emballage des cow-boys, des bateaux avec plein de canons. Au lycée, j’ai toujours crayonné sur mes cahiers, les profs finissaient par s’en apercevoir. Les bandes dessinées américaines ont été d’une très grande importance dans ma vie. J’ai assisté – cela devait être en 1943 – à l’arrivée des Américains à Tunis. L’état-major allié a pris possession du lycée Carnot qui avait été investi auparavant par la Kommandantur allemande. Durant ces années de guerre, j’allais à l’école dans la médina. J’étais devant le lycée, face à la boutique de mon grand-père. J’ai vu passer les troupes américaines dans les Dodges et dans les camions. C’était un véritable western de voir tous ces beaux gars arrivant du désert avec leur casque et leur flingue. Devant la porte d’entrée, stationnaient les chauffeurs des officiers. Tous mes copains leur demandaient des chewing-gums ou des chocolats. Moi, c’étaient des revues, je disais « have you comics » ? Je suis devenu copain avec certains d’entre eux, je m’asseyais à leurs côtés et je lisais les Dick Tracy, Tarzan, Mickey Terry and the pirates en américain. Plus tard, lorsque j’ai travaillé dans Charlie mensuel, j’ai recherché ces bandes dessinées que je regardais dans mon enfance. Je les ai republiées en France et elles ont eu beaucoup de succès parce qu’on les connaissait peu.

Quand j’ai quitté Tunis pour venir en France, cela a été sans regret. La France, celle que j’avais aimée dans les livres, était pour moi un pays mythique comme l’était l’Amérique d’ailleurs. Je quittais mon village Tunis, où on étouffait un peu et je découvrais le paradis France, la neige, l’eau qui ruisselle, les monte agnes. Bien sûr, j’ai perdu ma Méditerranée, ma grande amie la Méditerranée. Aujourd’hui, je suis heureux dès que je la revois.

Extrait de « Les Lycées français du soleil »

(Creusets cosmopolites du Maroc, de l’Algérie et de la Tunisie)

Effy Tselikas-Lina Hayoun

Collection Mémoires. Editions Autrement 2004

LA LETTRE MEL DE SEPTEMBRE 2013

LES GRANDES EXPOS PROGRAMMEES PAR CARNOT-TUNIS

NOVEMBRE : Mercredi 6 novembre à 18h
GEORGES BRAQUE au GRAND PALAIS, 3, avenue du Général Eisenhower, Paris
Le Grand Palais présente la première rétrospective consacrée à GEORGES BRAQUE (1882-1963), depuis près de quarante ans. Initiateur du cubisme et inventeur des papiers collés, il fut l’une des figures d’avant-garde du début du XXe siècle. L’exposition propose un nouveau regard porté sur l’œuvre de l’artiste et une mise en perspective de son travail avec la peinture, la littérature ou la musique de son temps. Elle réunit des œuvres venues du monde entier.
Visites- conférences 13 €, entrée à payer sur place, merci de confirmer votre venue en envoyant un mail d’inscription à alct@free.fr
PUIS de nous adresser un chèque de 13 € par personne à CARNOT-TUNIS MDA 23, rue Vernet 75008 PARIS

JANVIER 2014 : Mercredi 8 janvier à 17h45
FRANCISCO de GOYA
Nous vous invitons à découvrir à la Pinacothèque de Paris une exposition autour de l’artiste espagnol Goya. Né en 1746 à Saragosse, Francisco de GOYA est un peintre et graveur espagnol. Il a travaillé à la cour et a également réalisé des portraits de toute l’aristocratie. Ces œuvres les plus connues aujourd’hui sont sans nul doute La maja desnuda (musée du Prado à Madrid), le tableau de Charles IV et sa famille (1800) et El tres de Mayo de 1808 qui représente la résistance espagnole. Il meurt à Bordeaux en 1824.
Visites- conférences 13 €, entrée à payer sur place, merci de confirmer votre venue en envoyant un mail d’inscription à alct@free.fr
PUIS de nous adresser un chèque de 13 € par personne à CARNOT-TUNIS MDA 23, rue Vernet 75008 PARIS
Pour ces expositions, inscrivez-vous vite en deux étapes :
1/ mail à alct@free.fr
2/ envoyer un chèque de 13 € par exposition à CARNOT-TUNIS MDA 23, rue Vernet 75008 PARIS

A SAVOIR

Madeleine BERGER BENNACEUR, élue en juin 2009 Conseillère à l’Assemblée des Français de l’Etranger pour la circonscription Tunisie – Libye, a reçu les insignes de Chevalier dans l’Ordre national du Mérite, le 14 mai. Madeleine, née à Tunis, est ancienne élève du lycée Carnot et responsable de l’association des anciens de Carnot à Tunis. Elle est diplômée de l’Université Paris IX Dauphine (Maîtrise de Sciences de Gestion, DESS Marketing et DEA) et enseigne l’économie et la gestion au lycée Gustave Flaubert à la Marsa . Aujourd’hui Conseillère AFE, elle veille à assurer la défense des intérêts des Français résidant dans ces deux pays.

Dans le cadre du Festival de Cannes , Yamina BENGUIGUI, Ministre déléguée à la francophonie, a remis les insignes de chevalier de la Légion d’Honneur à FERID BOUGHEDIR, ancien élève du lycée Carnot, célèbre réalisateur d »Un été à la Goulette » et « Halfaouine, l’enfant des terrasses ».
Les enfants de la Tunisie : On les aime, ils nous font rire, animent nos émissions préférées, ou font partie du paysage politique. Ils ont tous en commun un début de vie en Tunisie et une brillante carrière en France ou à l’international. Cliquez sur le lien pour lire l’article paru sur le site du petitjournal.com http://www.lepetitjournal.com/tunis/a-voir-a-faire/84189-enfants-de-tunisie-ils-sont-devenus-celebres-en-france

CARNET

Nous avons la tristesse de vous faire part de la disparition, de Shirine, fille de Foad SABERAN membre du Conseil d’administration de Carnot-Tunis. L’ensemble du bureau lui présente, ainsi qu’à sa famille, nos plus affectueuses pensées.

A VOUS LA PAROLE !

Bonjour aux anciens du lycée Carnot de Tunis ! A propos du décès d’Antoine SCARDAGLI, j’ai connu un SCARDAGLI (un copain de mon frère Maurice PEREZ) ; ils étaient ensemble en mathelem en 1960. Est ce que c’est la même personne ? D’autre part, peut on avoir des nouvelles des anciens élèves de 2A’C 1964-1965? Merci Patrick PEREZ (lc1953-1965) .

J’ai été l’année 1956-1957 un élève de M. REBOUL à Tunis. Je suis maintenant membre de l’Académie des Sciences et je suis conscient de tout ce que je dois à l’enseignement de ce professeur. Je voudrais, ici, exprimer ma reconnaissance pour tout ce qu’a fait M. Reboul. Yves Meyer Académie des Sciences (Paris)
Salut tout le monde je suis une ancienne élève du lycée Carnot de 1970 à 1980 svp si vous me reconnaissez ou si vous avez une photo de classe, envoyez la moi ; merci d’avance ah j’ai oublié une chose importante en ce temps je portais un corset vu que j’avais une scoliose. Rim BEN JAAFAR ZEHANI (alct@free.fr)

J’ai rencontré au cours d’un séjour à Tunis Guy PAOLLILO, prof d’histoire-géo au lycée Carnot que certains ont certainement connu. Il s’occupe depuis de nombreuses années de l’Association Française d’Entraide et de Bienfaisance de Tunisie (SFEB) et fait un travail assez remarquable.
( aide à l’enfance, aide aux familles, aux personnes seules, veuves ou divorcées, aux personnes âgées sous forme de secours permanents, exceptionnels, en nature, prêts, consultations médicales, etc..) . Une visite à notre professeur s’impose lors d’un passage à Tunis : c’est un homme formidable, qui déploie une énergie extraordinaire et qui mérite d’être aidé. Joseph KHAYAT
SFEB 10 RUE FELICIEN CHALAY TUNIS (place Pasteur, direction Mutuelville, 3 eme rue à droite)

J’ai eu la chance d’étudier dans une classe mixte de Sciences Ex. de 1960-1961.
Quatre profs m’ont profondément marqué chacun a sa manière : M. MASSAL, le prof de Sciences Naturelles dont je ne retrouvais plus le nom jusqu’à la rencontre imprévue avec le site du Lycée Carnot. Il gardait précieusement dans le placard de notre classe un électrophone, et de temps à autre, en fin de semaine, il me semble ou en fin de journée, il nous faisait entendre une œuvre de musique classique, recueilli, bien planté sur ses deux jambes, tête rejetée en arrière et yeux fermés. Pour moi élève au conservatoire de Musique a Tunis pendant toute ma scolarité c’était un régal tout a fait inattendu ; surtout après la rigueur et le conformisme du Lycée Armand Fallières ou j’avais été élève les 6 années précédentes.
M. THOMAS, notre charmant prof de maths aux yeux bleus et à la démarche légèrement clopinante, qui nous enseignait cette matière que j’aimais tant a l’époque. Il a, par ses conversations avec ma maman – en fin de scolarité -, influencé très positivement ma vie à l’université l’année suivante.
Puis il y avait les deux compères : notre prof de philo M. BRUN, qui a contré et bouleversé dans nos jeunes tètes une bonne dose des idées liées à notre éducation jusque là , et notre prof de physique, M. GUICHANET, dont un des élèves, Alain SOUSSAN , faisait d’admirables caricatures qui loin de fâcher M. GUICHANET le faisait rire aux éclats. Je retrouve le nom d’un ami oublie, Jean Claude BORELLIi. Il me semble l’avoir croise au début de mes études a Marseille.
Il régnait dans cette classe assez turbulente, une dynamique ambiance d’étude et une dose de liberté qui a fait de cette année là, une année d’études inoubliable et très fructueuse. J’ai perdu de vue tout ce monde et ce morceau de vie. Mais son influence fructueuse a marqué toute ma vie à venir.
Si vous avez d’autres photos, de cette classe de Sces Ex, j’aimerais beaucoup y accéder car je n’en ai aucune, excepté les images et sensations restés dans ma mémoire. Merci pour ce site. Liliane BISMUTH

A LIRE

Vient de paraître en France le dernier roman historique de Hatem El KAROUI : le samedi 30 novembre 1805, le cheikh Slimane MELLAMELLI débarque du navire « USS Congrès » au port d’Hampton Roads dans l’est des États-Unis. Il s’apprête à rencontrer le président Thomas Jefferson pour essayer d’aplanir un litige tuniso-américain délicat, à savoir la saisie par l’US Navy au large du port de Tripoli de navires tunisiens dans le cadre d’un blocus américain du territoire libyen alors que la Régence de Tunis était théoriquement en paix avec les États-Unis d’Amérique.
Avec L’émissaire barbaresque au Nouveau Monde Hatem EL KAROUI nous propose un éclairage intéressant sur un épisode mal connu de l’Histoire.

Karine TUIL fille de notre camarade Gérard TUIL publie, chez Grasset, son dernier livre « l’Invention de nos vies » :Sam Tahar semble tout avoir : la puissance et la gloire au barreau de New York, la fortune et la célébrité médiatique, un « beau mariage »… Mais sa réussite repose sur une imposture. Pour se fabriquer une autre identité en Amérique, il a emprunté les origines juives de son meilleur ami Samuel, écrivain raté qui sombre lentement dans une banlieue française sous tension. Vingt ans plus tôt, la sublime Nina était restée par pitié aux côtés du plus faible. Mais si c était à refaire ? À mi-vie, ces trois comètes se rencontrent à nouveau, et c est la déflagration…

1955.1956, classe de 4eB2


Année 1955, Lycée Carnot de Tunis , classe de 4eB ,prof. :Mr Sebag,37 élèves .

De Haut en bas et de G à D :

1er rg : Landrin ,Hubert Guglielmi, V.Chaltiel, A.Fellous, Boccara, Cohen-Hadria, ? Maréchal , Cassar, Clerc, Jean Rusterucci,
2e rg : G.Bismuth, Hadjaj, Castro, R.Bismuth, Guez, J-Paul Cohen-Solal (acteur sous le nom de Jean-Paul Solal), Poli, Micceli, J.Cohen .
3e rg : JEAN , Timsit, Angebault, Suid, Clermont, Scemama, Loubaton, Karila, Grignon, Bot .
4e rg : Brun , Chaltiel, P.Fellous, Pellerin, Sebag, François Retali , Alario, Lasri,Solas .

les copains d’enfance = Hubert Guglielmi, François Retali (comme moi profs)
photo et liste fournie par Jean Rusterucci.
Professeur de français : Paul Sebag

L’annuaire est sorti des presses


L’annuaire est placé sous le haut patronnage d’Abdou Diouf, Secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie

AU SOMMAIRE
Editorial
Historique du lycée et photos
Professeurs, surveillants et administratifs (près de 950) avec des photos et des témoignages

Personnalités de Carnot avec des photos et des témoignages
Associations d’anciens élèves: leur conseil d’administration, leurs activités(l’ALCT, AMILCAR* et AAELC*)
Plumes de Carnot : les livres des anciens avec photos et témoignages

Répertoire :
– classement par ordre alphabétique (nom, prenom, année de naissance, promotion, adresse, tel, mail, profession,..)
– classement par année de naissance
avec des photos de classe et témoignages

Ouvrage dirigé et coordonné par Lina Hayoun

Notre association l’ALCT a choisi d’offrir et d’envoyer l’annuaire aux adhérents à jour de leur cotisation 2006

* en Tunisie AAELC, en France ALCT ; AMILCAR
En photos, bonnes feuilles de la liste des élèves et des profs.

Cliquez ici pour adhérer et recevoir gratuitement l’annuaire

1975.1976, Les profs de l’année




Premier rang de gauche à droite (assis en tailleur)
X – Albert Fage prof d’arts plastiques, M. Froussart prof d’histoire-géo et censeur, M. Ben Afsi prof d’histoire-géo, Yves Arvieu prof d’histoire-géo, M Neveu prof d’histoire-géo, Bernard Proust prof de philo, M. Schall prof de philo, x, Lucien Herran, prof de maths
deuxième rang
x, M. Macke prof de maths, M. Slama prof de maths, Mme Benarfa prof d’anglais, Mme Chivot prof d’anglais, Mme Dewulf (CPE) surveillante générale, Mme Thillard, x, x, Jacqueline Javelle prof d’EPS, Henri Koeller proviseur, Anne-Marie Reliau prof de physique, Irène Malice prof d’italien, melle Boesch, prof d’allemand, Mme Ardouin-Dumassé, André Blatière prof d’espagnol
troisième rangPhoto prise dans la cour du lycée par Julien Bernabé, prof d’arts plastiques

1983-1984 – Classe de première S à Mutu


(de gauche à droite) – MAROUFI Samir, HADJAIEJ Sami, SLIM Sadri –
IAFIF Yadh, BESBES Badis, BORG Valérie, MOUELHI Sonia, BALVANANADAN Norjure, FEKHI Sarah, ANSELMO Stephania –
BENTICHA Hichem, MOLINI Solange, LETAIEF Lilia-Nathalie, ABDELJAOUAD Firyel – LASRAM Khaled, ZAOUALI Hedi, METOUI Samira, GACHET Emanuel, DELTENRE Marc, – SALMA Hassen, SCARDIGLI Corinne, FEKHI Selma, HASSINE Sandra, ABDENBI Mohez, LABIDI Naouar

;nbsp;profs : Mr Perin (maths), Mr Jouve (physique), Mr Jacot (ScNat), Mme Tagourti (Français), Mr Poher (Hist Geo), Mme de Labarere (anglais), Mr El Hicheri (arabe) Mr Leandri (sport), Mme Malta (Italien)Photo et légende envoyées du Mexique par Sadri SLIM

1977-1978 – Terminale D3

De gauche à droite et de bas en haut :
MELLOULI Ridha, ATTAL Elyet, KACEM Hafedh, BENISTI Alain, GHERIBI Ahlem, MRABET Dalenda, SKOURI Houda , BEN SEDRINE Selma, TLILI Hela, BELTRAND Christelle.
BOUGHATTAS Mounir, NEDJIMA Karim, BONI Christian, DJEMILI Sam, VERNAY Olivier,
HAMMAMI Sadok, SOUDANI Aziz, BACCOUCH Rafik, DLIMI Samy.
SOUSSAN Philippe, BEN LAMINE Selim, FATNASSI Ezzeddine, KHARRAT Kamel,
KOCHLEF Mohamed, BEN AMOR Yacine, ZOUHIR Lotfi, MOUKHA Serge, FOURNET
Michel, GUEDDANA Adel.
Liste des Profs
Maths : Mr BAGET
Phys-Chimie : Mr DAUMAS
Sciences nat : Mr DESFORGES
Philo : Mr COMBES
Anglais 😕
Histoire geo:?
EPS :Mr CONTESTABLE (fils) Liste des élèves et des profs envoyées par Philippe Soussan
et remerciements à Sadok Hammami, conservateur de mémoire et de bons souvenirs