Jouda Guerfali Gomri expose à Paris

Je vous invite à visiter mon blog pour découvrir mon travail plastique. Si cela vous intéresse vous serez les bienvenus à l’expo!http://joudacreation.canalblog.com/
Jouda Guerfali GomriJe suis plasticienne tunisienne résidente en région parisienne. Je participe à l’exposition collective qui se déroule à l’Espace Culturel Tunisien 25 rue Fortuny à Paris 17, du 24 au 27 mars.

Une ancienne de Carnot à l’honneur !

Mon secret

Mon petit secret sucré, salé,
si doux à rêver
Si bon à goûter
Si mélodieux à entendre…

Mon petit secret sucré, salé,
Ta voix trémolo vibrante
Ton amie aimante et mon âme fière de t’aimer
Mutine et heureuse de te nicher en moi
Autour d’autres âmes qui ne savent pas
Qui ne savent rien du tout
Qui n’imaginent pas !
Mon petit secret sucré, salé,

Stalagmite emplissant la grotte
La grotte où sont cachés mes plus beaux souvenirs
Pas même un Ali Baba
Pas même un serpent ni un Dieu ne peuvent
Trouver le mot clé.

Mon petit secret sucré, salé,
Parfumé comme le jasmin au matin
D’un jour où ni les hommes ni le bien
Ni le pétrole, ni la mer, ni le mal
Ni les tanks, ni les forêts, ni le penthotal
Ne me feront avouer ton essence
Et même les clowns, les maîtres, les trusts
Et ces espions de satellites
Ne pourront jamais soupçonner la beauté
De ton existence implicite

Mon petit secret sucré, salé,
Si secret, si sacré, si sucré….

Monya Zouaoui(term.73)vient d’obtenir le prix littéraire Alain Decaux.
http://francophonie.fondationdelille.org/voir rubrique francophonie lauréat 2005 2006
Madeleine Bennaceur nous offre un de ces poèmes léger, musical et charmant,extrait de « poémes à l’ifriqyenne » : Mon secret

Le nouveau Réalisme au Grand Palais : jeudi 31 mai


Cette exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux, le Centre Pompidou, Paris et le Sprengel Museum Hannover, Hanovre.
Le Nouveau Réalisme s’inscrit, de la fin des années cinquante au milieu des années soixante, dans un mouvement général de renouvellement des langages plastiques et des thèmes (Néo-Dada, Pop Art, Fluxus, groupe Zéro…) face à l’émergence d’une société industrielle et de consommation, en rupture avec l’immédiat après-guerre.
Klein, Hains, Villeglé, Tinguely, César, Arman, Spoerri, Raysse, Dufrêne, Rotella, Niki de Saint Phalle, Deschamps, Christo, baptisés de manière volontariste par le critique d’art Pierre Restany « Nouveaux Réalistes * », multiplient manifestations collectives et « actions-spectacles ». Ils intègrent à leurs œuvres des éléments de l’univers quotidien, urbain et industriel : palissades, barils, objets en plastique, détritus, voitures ou sigles de la circulation…Compressions de César, accumulations d’Arman, décollage et lacération d’affiches de Hains et Villeglé, assemblages d’objets courants en plastique de Raysse, tableaux-pièges de Spoerri, sculptures auto-destructives de Tinguely, Tirs de Niki de Saint Phalle… recèlent une véritable radicalité aujourd’hui oubliée.

Mouvement phare de la scène française artistique de l’après-guerre, Le Nouveau Réalisme en tant que mouvement n’a pas fait l’objet d’une grande exposition depuis plus de vingt ans (1960.Les Nouveaux Réalistes, Paris, Musée d’art moderne de la Ville de Paris, 1986). Si nombre d’artistes ont bénéficié depuis les années 80 d’une rétrospective (Martial Raysse, César, Arman, Tinguely, Hains, les affichistes…), leur rattachement à un groupe qui a su être présent et actif sur la scène internationale des années 60 (Etats-Unis, Italie, Allemagne), est aujourd’hui mal connu, souvent minoré et mérite un nouvel éclairage, une nouvelle compréhension. Par ailleurs, alors que les acteurs disparaissent les uns après les autres – Niki de Saint Phalle, César, Hains, Restany, Arman, Rotella… – il est important de saisir les derniers témoignages d’une histoire qui s’éloigne et que, de manière étonnante, se réapproprient de nombreux jeunes artistes de la scène contemporaine.

L’exposition, d’environ 180 numéros, propose de retrouver la vitalité des actions et des œuvres du « nouveau réalisme » grâce à la reconstitution ou la présentation de certains ensembles et la mise en place d’un parcours
thématique et historique permettant de saisir les apports et les spécificités de ce mouvement, ainsi que les temps forts de leur histoire commune. Elle se concentre sur une décennie – de 1958 aux années 1965/69 – qui voit la
constitution du groupe et l’expression d’actions collectives – période extrêmement dense et vivante, ensuite recouverte par l’affirmation de trajets personnels.

Outre, bien évidemment les œuvres des treize acteurs directement rattachés au mouvement, quelques pièces d’artistes proches et souvent en contact avec ces derniers (les « Objecteurs » réunis par Alain Jouffroy tels que Raynaud,
Pommereulle, Dietman, ou encore Malaval, Jacquet, des membres issus de Fluxus comme Filliou ou Vostell, du groupe Zéro tel que Günther Uecker, les Américains néo-dadas, Rauschenberg, Stankiewicz, Johns, Bontecou,
Chamberlain…) seront incluses, afin d’évoquer la multiplicité des courants qui ont animé Le Nouveau Réalisme et de ne pas réduire, comme on l’a trop souvent fait, ce mouvement à la déclinaison emblématique et schématique de quelques gestes.

* Klein, Raysse, Arman, Dufrêne, Villeglé, Hains, Spoerri, Tinguely et Restany lui-même signent le 27 octobre 1960, la Déclaration constitutive du Nouveau Réalisme – geste emphatique mis en scène par le critique pour un groupe qui, selon Arman, ne durera que vingt minutes. C’est davantage et de manière plus large une attitude, un mouvement que l’on nommera Nouveau Réalisme, qui relie ces artistes signataires ainsi que les autres, proches, Deschamps, Niki de Saint Phalle, Rotella, Christo.

Visite guidée par une conférencière diplômée de l’Ecole du Louvre
(durée 1h30), Tarif 14€ Entrée 10 €Galeries nationales du Grand Palais. Entrée Square Jean Perrin, 75008 Paris
JEUDI 31 MAI A 17h45
Inscrivez-vous vite au 06 20 88 40 52 ou sur alct@free.fr

Les premiers modernistes tunisiens de Nazli HAFSIA

L’auteur : Nazli Hafsia est tunisienne licenciée en droit (Faculté de droit de Paris), elle a accompli une carrière dans la Fonction publique. Elle a étudié divers sujets dont la prostitution en Tunisie (inédit). L’auteur fait partie de la première génération active de l’indépendance.Les premiers Modernistes tunisiens : Abdeljelil Zaouche(1873-1947)à MIM Editions – Tunis 2007 : Au lendemain du XXeme siècle, Nazli Hafsia s’est demandée comment ce siècle a débuté en Tunisie, quelles couleurs optimistes ou grises, il portait ? Comment l’intelligentsia tunisienne a perçu et vécu le protectorat ? Signature à l’Acropolium de Carthage Vendredi 23 mars

3ème édition du Festival de Jazz à Carthage


L’Afrique sera particulièrement mise à l’honneur avec la présence de figures dont l’apport artistique à la planète Jazz est inestimable. D’abord, avec Anouar Brahem qui ouvrira le bal le 12 avril 2007 à l’Acropolium de Carthage avec son “Voyage de Sahar”. Et c’est dans le cadre d’une tournée mondiale que l’artiste tunisien présentera cet album qui a récemment reçu le prix « Edison Awards », un des plus prestigieux prix de musique dans le monde et l’équivalent du Grammy Awards aux USA. Mais pas seulement car Anouar Brahem réserve au public du festival bien des surprises.
Richard Bona se produira, lui, le 13 avril à 21h00 toujours à la cathédrale Saint-Louis. Considéré comme l’un des meilleurs bassistes au monde, cet artiste d’origine camerounaise est un voyageur-né. Fréquentant des sensibilités aussi diverses que celles de Jacques Higelin, Salif Keïta, Michael et Randy Brecker ou Pat Metheny, il a accédé grâce à son talent aux plus prestigieuses scènes du monde. Leader de son propre groupe, il fait aujourd’hui partie de ce cercle d’artistes-références naviguant entre jazz et musiques du monde.
En attendant que les organisateurs lèvent le voile sur le reste du programme, on peut déjà affirmer que la vocation pluriculturelle et multidimensionnelle de Jazz à Carthage se confirme avec son ambition de faire connaître et rencontrer des artistes qui incarnent probablement l’avenir du jazz, chez nous et ailleurs.

Jazz à Carthage, le rendez-vous du Jazz en Tunisie.
Un rendez-vous créatif, à ne pas rater.
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Scoop Organisation
BP 753 – La Marsa
2078 Tunisia

Tél. : +216 70 938 226 ; +216 70 938 336
Fax : +216 70 938 035

du 12 au 22 avril à Carthage et Gammarth.(www.jazzacarthage.com)
Ne dérogeant pas à sa vocation, « Jazz à Carthage » nous offre cette année une programmation encore plus riche qui promet bien des surprises. Carthage accueillera en effet du 12 au 22 avril des stars du Jazz provenant des quatre coins de la planète.

Donnez-nous des informations sur la liste des lycées français de Tunisie

*Bizerte/
– Lycée Stephen Pichon (1920) => Lycée Farhat Hached (1961)
élèves : Bertrand Delanoë, Charles Villeneuve, Jacques Charrier* Tunis
– Lycée Carnot (1893) => Lycée Bourguiba (1983)
professeurs : François Châtelet, Jean Amrouche, Claude Hagège, Albert Memmi
élèves : Habib Bourguiba, Philippe Seguin, Serge Moati, Loris Azzaro, Ferid oughedir, Alain-Gérard Slama, Pierre Benoit

– Lycée de jeunes filles Armand Fallières

– Lycée de jeunes filles Paul Cambon
élèves : Claudia Cardinale

– Lycée de Mutuelleville (1956) => Lycée Pierre Mendès France (1983)

– Lycée de la Marsa (Cailloux) => Lycée Gustave Flaubert

– Sousse
– Lycée Charles Nicolle

– Sfax
– Lycée
– Groupe scolaire Albert CamusVoici une liste des lycées français (avec les noms qu’ils portent maintenant qu’ils sont tunisiens) et de leurs élèves célèbres (en France, en Tunisie et ailleurs).
Envoyez-nous vos corrections, remarques, ajouts … à alct@free.fr
Remarque : aujourd’hui, il y a deux lycées français en Tunisie : le lycée Pierre Mendès-France à Mutuelleville et le lycée Gustave Flaubert à la Marsa.

ILS ETAIENT LA !!!


BISMUTH CHARLES/ BISMUTH JEAN.CLAUDE/ BISMUTH LUCIEN / BISMUTH SIMONE
BISMUTH SYLVAIN/ BOCCARA NICOLLE ; DANIEL/ BOKOBZA NICOLE ; CLAUDE/
BOUBLIL EDITH/ BOUBLIL SYLVAIN/ BRAMI DINAH ; LUCIEN / BUENO-KLEIN PAULE ; JEAN DANIEL/ CAPARROS MYKAÏA (JEAN MICHEL)/ CHARFI SALEM/ COHEN-JONATHAN MAURICE
COHEN-JONATHAN SONIA ; PAUL/ DAHAN VERONIQUE/ DANA LUCILLE ; PAUL/ DANA MAX
DIAN RICHARD/ D’ACIER DE LA VIGERIE MARTINE/ DESSAUX-MANZUNI CHRISTINE/ DISEGNI-SABRIEN FRANCINE/ DJEBALI LOUISA ; RICHARD/ ELHAIK CLAUDINE/ FAHEM ABDEL KADER/FEODOROFF TATIANA/ FRAGASSI JEAN.PIERRE/ FRANCO FABIEN/ GIAOUI ALAIN/ GIAOUI.ALBOU MICHELE / GUEZ DANY/ GUEZ RICHARD/ HAGEGE JEAN CLAUDE/ HASSID GUY/
HAYOUN LINA/ HAYOUN MONIQUE/ HAYOUN MICHEL/ LANOUAR NEJIA ET KHALED/ LABI NICOLE (1961.1965/seconde)/ LEMBEYE GAETAN/ LESCURE FRANCOISE/ LEVY JACQUELINE ; ALEX/
LEVY LUCIEN/ LEVY VIVIANE/ LEVY-SMIDTAS JEANNINE/ LICAUSI MARYSE ET ANTOINE/
LOUESSARD LEONARD/MARZOUK.SEURIN MICHELE/ MESSANA PAOLA/ NAHUM LISBEL/ NGUYEN THI XUAN THU/ NIZARD GILBERT/ NIZARD JEAN/ PAMPALONE FABRIZIO (recherche un stage de vétérinaire pour sa fille)/ PARIENTE GILBERT/ SABERAN FOAD/ SARDA PAUL/ SARFATI GUY/ SCEMAMA JEAN-ALAIN/ SEROR MICHELE ET ABRAY/ SFEZ CLAUDE/ ITRUCK.SAAL MONA/ SLAMA FABIENNE ; GILBERT/ SMADJA LUCIEN/ SOMMEZET JEAN.PIERRE/
TAIEB BERNARD/ TAIEB YVES alias PHOENIX/ TAPIA PHILIPPE et VIRGINIE DORADE/TARTOUR ROLAND/ TANUGI ALAIN/ TSELIKAS EFFY/ TEBOUL MARCEL/ TEMAM GERARD/
TIBI NADINE/ TOULEMONT DANIELLE/ TRAMONI-CAPARROS JEAN-MICHEL/ UZZAN MERRY ET DONALD/ WISENFELD ET BOUBLIL/ ZAZOUN CLAUDINE/ ZERAH BERNARD ET MARTINE/ ZERMATI JEAN-PIERRE/ ZEITOUN HENRI…Remerciements à Guy Sarfati pour ses photos et film.
Ils sont venus au « cabaret Tune » :ALIMI PATRICIA/ ASSOUS RENE/ MARTINE SCIALOM/ ATLAN GEORGES/ AZAN MORRIS/ AZAN.BERGHEIMER MARIE-CLAUDE / BANET EDWIGE/ BENACIN YVES / BENVENISTE JOYCE ET PIERRE / BELAISCH JUDITH / BELLAICHE BERNARD / BERTOLINO JACQUES/ BISMUTH ALAIN

1956.1957, La bande des « Bagnards » devant le lycée Carnot


Cette photo des « bagnards » en meilleure résolution est la propriété de Michel Khayat qui est notre « président d’honneur ». J’ai oublié de mentionner la présence de Roger Haddad (que nous recherchons toujours) et de signaler que c’est grâce aux encouragements de ma fille Astrid que j’ai pu retrouver mes anciens camarades.
Tous ceux qui figurent sur la photo n’étaient pas de Carnot mais aussi de Sadiki.
Nous étions toute une bande d’adolescents heureux de vivre en Tunisie et en mélangant nos différences qui en ont fait une fraternité. Nous avions appelé notre bande, « les bagnards de la cellule 7 » d’après un petit groupe de jazz que nous aimions et qui n’a fait qu’un seul disque dans sa carrière !! mais quel disque ! nous avons réusi à le retrouver et à l’acheter sur E bay.

Malheureusement de ce groupe d’amis sinon de frères, deux sont morts, six d’entre nous ont réussi à se retrouver 45 ans après. Nous croyons savoir où se trouve deux autres ; mais comment les contacter ? Un d’entre nous est à Dubai et se partage avec sa Tunisie natale, c’est « le commandant de bord » ex Tunis-air spécialiste d’entrainement Airbus : Samir Tabib (son père était un grand Monsieur et ancier officier de St Cyr, premier chef d’état major de l’armée tunisienne, si je ne me trompe). Un second Tommy Fitoussi se partage entre Tel- Aviv et Paris, où est établi son frère. Michel Khayat vit à Paris, Erick Franco vit à Villeneuve-Loubet (Cannes) a deux enfants, une superbe fille Angélique mariée et un fils Jean (auteur et acteur) qui rencontre un brillant succès actuellement à Paris (avec Marthe Villalonga), Yves et sa femme Nicole qui faisaient également partie des Bagnards, vivent à Marseille et font des concours de Bridge et moi dans le Loir et Cher après une vie de grand voyageur.
En nous retrouvant, nous étions persuadé que le temps s’était arrêté!! Il en manque : Roger Pons par exemple ?? La photo est de 1957 nous étions en classe de seconde pour certains. Comme dit une chanson célèbre, si tous les gars du monde voulaient se donner la main……..
J’essaierai d’avoir une meilleure résolution pour la photo.
Cordialement.Philippe Duval: « La photo a été prise devant le lycée mais le miracle, c’est de nous être retrouvés 45 ans après presque tous et toujours frères chrétiens, juifs et musulmans.